L’Opéra de Rouen Haute Normandie ouvre sa saison lyrique avec Norma. Musicalement intéressante, cette production souffre néanmoins d'une mise en scène qui rencontre quelques limites dans son ambition.
Embarquement immédiat pour la croisière 2017-2018 de l’Auditorium. Le concert d’ouverture annonce une programmation colorée dont l’exécution en finesse et maturité résulte tout d’abord de l’interaction fusionnelle entre l’ONL et son chef Leonard Slatkin.
Ernst van Tiel, à la direction de l’ONL, et le compositeur de la bande originale, Ludovic Bource, aux claviers, feront parler d’eux : le premier de leurs trois ciné-concerts dédiés au film de Michel Hazanavicius fait sauter les auditeurs de leurs chaises.
Il y a des interprètes dont les interprétations feront toujours l’émerveillement de celui qui les écoute à l’aveugle. Nelson Freire en fait décidément partie. Si différent dans sa personnalité de ces jeunes qui ont encore des choses à prouver et produisent éperdument jeu de main, de cheveux, de hanche ou de partition, le pianiste de soixante-douze ans ne fait que de la musique.
Dans sa quatrième et dernière co-production de la saison avec le Festival d’Ambronay, l’Auditorium de Lyon dévoile une splendide page d’oratorio de Michelangelo Favelli grâce à la fervente baguette de Leonardo García Alarcón.
L’Auditorium célèbre les 70 ans du minimaliste en sa présence, avec l’ONL sous la direction de Leonard Slatkin et l’éblouissante violoniste Hilary Hahn dans le concerto de Tchaïkovski
Das London Symphony Orchestra unter der Leitung von François-Xavier Roth entfaltete in Wien mit Debussy, Bartók und Bruckners Romantischer Symphonie intensivste Klangfarben.
Das Saxophonquartett Clair-Obscur und die Nordwestdeutsche Philharmonie interpretieren exzellent das Rebellentum der 80er bei der Uraufführung von Enjott Schneiders Berlin Punk.
Le Retour de Marin Marais et de Monsieur de Sainte-Colombe : douceur et chaleur de la viole de gambe dans un écrin musical exquis, brodé de violon, théorbe, clavecin et guitare baroque.
La Rhapsody in blue de Gershwin jouée délicatement et fougueusement par Katia Buniatishvili fait suite aux coups de feu de Copland et précède l’orgie musicale de Berlioz.
L’Orchestre national de Lyon, le mezzo-soprano Jennifer Johnston, la Maîtrise de l’Opéra et les voix féminines lyonnaises réunis à l’Auditorium pour célébrer une œuvre-monde
With a new and revolutionary staging by Romeo Castellucci, Lyon Opera presents a radical analysis of a symbolic figure often subject to ideological takeover; Kazushi Ono’s sympathetic direction makes Arthur Honegger and Paul Claudel’s work into something sublime while preserving its mysterious spirituality.