Saturday 24 January 2026 | 17:30 |
Alexandre Kantorow | Piano |
Liya Petrova | Violin |
Charlotte Juillard | Violin |
Shuichi Okada | Violin |
Daniel Hope | Violin |
Simos Papanas | Violin |
Lise Berthaud | Viola |
Grégoire Vecchioni | Viola |
Lawrence Power | Viola |
Edgar Moreau | Cello |
Caroline Sypniewski | Cello |
Aurélien Pascal | Cello |
Simon Iachemet | Cello |
Stéphanie Huang | Cello |
Victor Julien-Laferrière | Cello |
Coline Moreau | Violin |
Clara Messina | Violin |
Gabriel Guignier | Cello |
Maya Devane | Cello |
Trois cents ans ininterrompus de musique honorés par une pléiade d’artistes parmi les plus talentueux de notre temps : Glass dialogue avec Bach, Chostakovitch éclaire Tchaïkovski. Une invitation au rêve et une célébration de l’esprit chambriste.
Les juvéniles Deux Pièces pour octuor à cordes de Chostakovitch inaugurent le programme sur un ton mordant et des rythmes vigoureux. C’est au contraire la légèreté lumineuse qui caractérise la transcription du grand pianiste Wilhelm Kempff de la Sicilienne de Bach. Place ensuite à Philip Glass, dont Symphony for Eight est un arrangement pour huit violoncelles du troisième mouvement, une manière de sombre chaconne, de sa Symphonie n°3. « Six voix indépendantes mais semblables, qui ne peuvent être interprétées qu’en sextuor. C’est incroyablement difficile », déclarait Tchaïkovski à son frère Modest à propos de Souvenir de Florence, œuvre esquissée dans la ville italienne et offrant au concert une conclusion radieuse.
Coréalisation La Musikfest, Philharmonie de Paris
