Au Festival Un Temps pour Elles, deux concerts monographiques mettaient en avant les pépites méconnues de Charlotte Sohy et Dora Pejačević, interprétées par une belle équipe de jeunes chambristes.
Le violoncelliste a délivré une performance hautement spectaculaire, aux côtés d'un Orchestre National de France dont les individualités ont brillé, sous la direction inégale de Cristian Măcelaru.
À Évian, Liya Petrova et Victor Julien-Laferrière ont fait honneur à la programmation de Philippe Bernhard, et Elim Chan a dirigé une Mer d'anthologie à la tête de l'Orchestre national de Lyon.
Sur une île, à la montagne, sous les arbres ou dans une cave, au piano, en quatuor, en orchestre, en chœur, à l'opéra : voici 15 festivals qui vous donneront des idées d'aventures musicales…
Véritable Fête de la musique avant l'heure, le concert du London Symphony Orchestra a mis à l'honneur la faculté de la formation britannique à se transformer en ensemble de chambristes de premier ordre.
Le célèbre bâtisseur de festivals revient sur son histoire personnelle avec Sviatoslav Richter, dont il a pris la suite à la tête de la Grange de Meslay.
Des quatre finalistes rescapés des 330 candidatures initiales, le chef allemand et son confrère estonien ont été les plus convaincants – mais l'un d'eux méritait sans doute le Premier Prix, qui n'a pas été attribué...
Malgré un bel Orchestra of the Age of Enlightenment, le programme Haydn-Beethoven a paru bien monotone voire approximatif sous la direction du célèbre pianiste et chef d'orchestre.
Avec une version noire et dépouillée de West Side Story, Barrie Kosky et Otto Pichler révèlent l'essence et les potentialités d'une œuvre trop peu explorée jusqu'à présent.
Le violoniste américain brille dans l'ingrate Symphonie espagnole de Lalo. Excellent dans Manoury, l'Orchestre National de France et son directeur musical ne résolvent pas tous les mystères de La Mer de Debussy.
Des solistes aux seconds rôles, tout l'Orchestre des Champs-Élysées a participé à la fête du Chant de la Terre. Au côté d'un formidable Andrew Staples, Michèle Losier a efficacement remplacé Magdalena Kožená.
Les deux solistes se découvrent dans un Double Concerto de Brahms perfectible ; sous la direction dynamique d'Andrés Orozco-Estrada, la seconde partie du programme est nettement plus mémorable.
Le ténor confirme qu'il est taillé pour le grand opéra français, et l'Orchestre National Bordeaux Aquitaine se révèle sous la baguette de Pierre Dumoussaud.
Dans un programme qui comprenait deux transcriptions inédites dont un Boléro fort original, Les Métaboles et leur chef ont fait honneur à Maurice Ravel.
En ce dernier jour de la Biennale de quatuors à cordes de la Philharmonie, les Espagnols et les Autrichiens ont proposé une passionnante opposition de styles dans des œuvres du style classique.
Deux cas de Covid-19 ont obligé les Quatuors Belcea et Ébène à revoir leur programme quelques heures avant leur entrée en scène, ce qui n'a en rien gâté un concert légendaire.
En visite à la Philharmonie de Paris, l'orchestre bavarois et son directeur musical ont livré une interprétation légendaire de la Neuvième Symphonie de Mahler.
Sous la direction d'Iván Fischer et avec la complicité de l'altiste Tabea Zimmermann, l'orchestre hongrois a livré un concert mémorable, alliant intelligence de la programmation et excellence de l'interprétation.