L'Orchestre National d'Île-de-France, emmené par Christian Arming, proposait l'ouverture des Noces de Figaro, la Symphonie n°7 de Beethoven et, entre les deux, le rarement entendu Concerto pour Bandonéon d'Astor Piazzolla, avec Per Arne Glorvigen en soliste.
Anna Göckel incarne parfaitement cette génération qui refuse de jouer les amuseurs de foule. C'est la démarche, le propos, la recherche qui lui importent. Rencontre avec la violoniste autour d'une œuvre fondamentale, les Sonates et Partitas de Jean-Sébastien Bach, qu'elle vient d'enregistrer.
Salle Pierre Boulez, l’Orchestre de Paris a retrouvé, pour la nouvelle année, un de ses chefs légendaires : Christoph Eschenbach, accompagné du violoncelliste Julian Steckel en soliste, présente un concert en forme de voyage.
Une figure montante de la direction d’orchestre, Krzysztof Urbański, et un très jeune violoniste de seize ans à peine, Daniel Lozakovitch. Une affiche alléchante qui a tenu en grande partie ses promesses.