L'ensemble Correspondances et Sébastien Daucé au festival d'Ambronay. Au programme, des oeuvres de Charpentier autour du thème « La Victoire de Milan ». Un concert captivant, somptueux, bouleversant.
Mit Sofia Gubaidulinas zweitem Violinkonzert und Bruckners Neunter boten Gidon Kremer und die Sächsische Staatskapelle Dresden unter der Leitung von Christian Thielemann ein wahres Klangerlebnis für das Berliner Publikum.
Mozart und Bruckner haben inhatlich nicht unbedingt viel miteinander zu tun. Lang Langs Interpretation mit Mozarts kompositorischen Ideen leider auch nicht. Gewohnt brilliant sind dafür Daniele Gatti und die Wiener Philharmoniker. Auch bei den Festspielen kann nicht alles perfekt sein.
Le Collegium Vocale Gent et l’Orchestre des Champs-Élysées sous la direction de Philippe Herreweghe dans un programme Bruckner/Schubert : une musique pleine de gravité, proposée avec intensité par un très grand chef.
« Le Combat de Saint Michel » par l'ensemble Pygmalion : un fil conducteur inédit, déroulé d’une main de maître par un Raphaël Pichon toujours aussi excellent dans ce répertoire.
Lundi 25 août à 21h, dans le cadre du festival de La Chaise-Dieu, l’ensemble Correspondances de Sébastien Daucé proposait à l’église des Carmes du Puy-en-Velay un programme consacré à l’œuvre de Charpentier. Une lecture extrêmement profonde d’un répertoire encore largement méconnu.
Wer glaubte, sich für einen entspannten Kammermusikabend gemütlich in seinem Sitz zurücklehnen zu können, der wurde schnell mit einem Brahmsschen Scherzo eines Besseren belehrt.
Devant un public euphorique, le West-Eastern Divan Orchestra a célébré la musique hispanisante dans un concert festoyant, sous la baguette bienveillante de Daniel Barenboim.
Eine interessante Mischung aus altbekanntem und selten aufgeführtem Liedgut singt Piotr Beczala im Haus für Mozart. Robert Schumann, Antonin Dvořák, Sergej Rachmaninow und Mieczysław Karłowicz stehen auf dem Programm, und es wird deutlich: Am schönsten klingen Gefühle doch in der eigenen Sprache.
En ouverture de cette deuxième semaine du festival de musique d’Edimbourg, Philippe Herreweghe dirigeait le Collegium Vocale Gent et ses solistes d’exception dans la Messe en si mineur de Bach, tout en maîtrise mais sans transcender.
Darmstadt feiert bis tief in die Nacht. Man hätte sich zweiteilen mögen an diesem Abend, der zu gleicher Zeit rasante Musik mit dem Ensemble Dal Niente und kontemplativere Klänge im Sitzkissen-Ambiente bot und hernach auch noch zum Weitertanzen einlud.
Die Große Schubertiade im Großen Saal der Stiftung Mozarteum wurde ihrem Titel in jederlei Bedeutungsweise mehr als gerecht. Große Leistungen von Sängern und Musikern waren da zu hören, und das alles in einem Rahmen der, derart privat, bei den Festspielen nicht zu erwarten war.
Mikrotonal und doch gemütlich: Mit Projektkonzerten und einem Symposium beschäftigten sich die Darmstädter Ferienkurse mit dem italienischen Komponisten Giacinto Scelsi, seiner Musik und seiner Rezeption.
Pour la deuxième fois, le festival de Saint-Lizier en Couseran renouvelle l’étape musicale et gastronomique de Montégut-Plantaurel. Ce moment était l’occasion de réunir trois jeunes artistes pyrénéens dont le talent artistique est déjà bien affirmé : Matthieu Esnult, Hector Burgan et Pierre Mignier.
Der Pianist Rudolf Buchbinder spielt den dritten der insgesamt sieben Abende des großen Beethoven-Sonaten-Zyklus. Voller Abwechslung und Spannung gelingt es dem Pianisten, seinem Publikum einen Einblick in die Seele des Komponisten zu gewähren.
Music in the shadow of war - Musik im Schatten des Krieges. Wie kunstvoll Angst und Schrecken auf das Schaffen unterschiedlicher Komponisten Einfluss nahmen, zeigten Steven Isserlis & Friends im Großen Saal der Stiftung Mozarteum an Werken von Debussy, Fauré, Strawinsky, Zoltan Kodály und Edward Elgar.
Programm zu später Stunde: Nach einer eiligen Reise von der Orangerie im hügeligen Süden Darmstadts zur Centralstation in der Innenstadt erwartete die Zuhörer ein fesselndes Konzert mit Werken von Georges Aperghis, von dem man nicht auch nur einen kleinen Moment verpassen wollte.
Samedi 19 juillet, Santtu-Matias Rouvali dirigeait à l’Opéra Berlioz de Montpellier un programme de musique russe interprété par l’Orchestre Philharmonique et le Chœur de Radio France, rejoints pour une séquence violon par Renaud Capuçon. Un répertoire dont l’orchestre et les chanteurs ont su mettre en valeur le lyrisme et la solennité.
Vendredi 18 juillet à 20h, sous la direction de Santtu-Matias Rouvali, l'Orchestre Philharmonique de Radio France a interprété un programme consacré à Maurice Ravel. Une soirée inoubliable qui restera gravée dans les mémoires comme un sommet de musicalité. Festival de Radio France - Montpellier Languedoc Roussillon
Un concert de « musique spatiale », composé d’œuvres de Grisey, Saariaho, Maresz, Harvey et Boule, au festival de Radio France, à Montpellier. Le spectateur est projeté dans un autre espace-temps, pour une immersion au cœur de la technologie et de l’innovation artistique qui ne peut laisser indifférent.
Mercredi 16 juillet à 20h, Alain Altinoglu dirigeait l'Orchestre National de France dans un programme intitulé « Autour de 1914 ». A l’opéra Berlioz de Montpellier, Wagner, Stephan, Schubert et Brahms étaient interprétés dans le cadre du festival de Radio France. Un programme d’une grande intensité donnant lieu à un moment de mémoire.
Mardi 15 et mercredi 16 juillet, les concerts donnés à 18h dans la Salle Pasteur du Corum étaient consacrés aux compositrices pionnières. Les interprètes ont pris plaisir à sortir de l’ombre des œuvres méconnues, à la beauté inédite : une excellente initiative doublée d’une réalisation impeccable.
Lundi 14 juillet, l’ensemble Pulcinella d'Ophélie Gaillard partageait la scène de l’Opéra Comédie de Montpellier avec la Maîtrise de Radio France dirigée par Sofi Jeannin, dans un programme Scarlatti / Porpora. Un concert assez plaisant, fondé sur un répertoire somptueux.
Mardi 1er juillet était donné à la Chapelle royale de Versailles un programme intitulé “Gloire à Dieu et au roi d’Angleterre”. Six œuvres de Haendel étaient interprétées par The Sixteen, dirigés par Harry Christophers : le Dixit Dominus, les Coronation Anthems et l’ouverture de Jephta. Un concert plaisant.
Après deux premiers concerts ayant présenté les deux premières symphonies de Gustav Mahler (1860-1911), il était temps pour Tugan Sokhiev, en cette fin de saison, de nous présenter la Troisième, la plus longue.
Von dionysisch-wild bis apollinisch-klar: Gil Shaham und das Symphonieorchester des BR unter Yannick Nézet-Séguin zeigen bei Bartók und Mahler überschäumende Musizierfreude und Begeisterung, die ansteckt.
Le public était debout pour saluer la performance absolument parfaite d'extraits d'opéras de Haendel et de concertos italiens par le Concerto Köln et Valer Sabadus.
Un programme qui soulève la question de la relation entre danse, musique et paroles. Philippe Jordan, Anja Harteros, et l'Orchestre de l'Opéra de Paris relèvent le défi au cours d'un concert aussi bien construit qu'interprété.
Die Volksoper landet mit Richard Strauss' selten gespieltem Einakter Feuersnot einen Überraschungserfolg – eine Empfehlung für alle Freunde der Musik des Jubilars.
Rafał Blechacz est venu à Pleyel défendre les mérites de la jeunesse, bien sûr, mais aussi, du haut de ses 28 ans, l’incroyable maturité de son jeu, qui ferait pâlir de jalousie plus d’un prodige.
Anlässlich Richard Strauss' 150. Geburtstag heizte das Bayerische Staatsorchester dem Publikum am heißesten Pfingstmontag aller Zeiten noch zusätzlich ein und bot ein rauschendes musikalisches Fest.
Krystian Zimerman s'est engagé dans les trois dernières sonates de Beethoven comme s'il était question de vie ou de mort, et chacun a retenu son souffle devant le mystère du génie qui s'incarnait sur scène.
Un programme original, un orchestre compétent et des musiciens invités reconnus : tous les ingrédients étaient réunis pour un grand concert, mais quelques petits problèmes dans la réalisation ou choix artistiques étonnants vinrent nuancer l'impression générale.
Don Juan, sept lieder de Strauss et Titan : les Bamberger Symphoniker nous offraient ce soir un vaste aperçu de l'idéal postromantique allemand, tant amoureux qu'héroïque. À leur tête, le charismatique Jonathan Nott a suscité la totale adhésion du public, malgré les imperfections de son orchestre et de sa battue.
Une telle affiche dans un tel programme : le concert promettait beaucoup, et donna beaucoup. Bychkov et le COE livrèrent deux admirables interprétations de l'Inachevée de la Septième de Beethoven, dessinant le discours musical d'un pinceau sobre et élégant.
Die junge Violinistin Vilde Frang spielt den jungen Mozart und Jukka-Pekka Saraste dirigiert das WDR Sinfonieorchester Köln durch die Wagner-Sinfonie. Zwei Jahrhunderte, zwei Glanzstücke der Musikgeschichte und vor allem zwei besondere Musiker begeistern das Salzburger Publikum.
Es gibt immer wieder außergewöhnliche Plätze, an denen klassische Konzerte veranstaltet werden. Mit vier Veranstaltungen im Kesselhaus der Kulturbrauerei präsentiert sich „Klassik im Kessel“, eine neue Reihe des Rundfunk-Sinfonieorchesters Berlin für Kammermusik.
2014 marque le centenaire du début de la Première Guerre Mondiale. Les Tallis Scholars ont choisi de célébrer cette date par un programme qui tourne autour des idées de conflit, de paix, de deuil, et de consolation.
L’Ensemble Pygmalion dirigé par Raphaël Pichon proposait mardi 13 mai, à la Chapelle Royale de Versailles, un concert intitulé « la Passion révélée ». Au programme : la Musique funèbre pour le Prince de Cöthen de Bach, formée d'emprunts à sa musique sacrée. Une reconstitution passionnante, servie par 4 solistes d’exception.
Ecouter un opéra en version de concert permet de mieux se concentrer sur la musique. Et quand il s’agit de Rusalka, le chef d’œuvre lyrique d’Antonin Dvorak, interprété par l’un des meilleurs orchestres symphoniques du monde, le Budapest Festival Orchestra, qui plus est dirigé par son talentueux fondateur et toujours directeur Iván Fischer, le bonheur ne peut être qu’au rendez-vo