Tombé à l’âge de 10 ans dans la musique grâce à une manécanterie il n’en est plus jamais ressorti. Quelques années après il rejoignait un grand chœur parisien tout juste fondé avant de réussir simultanément le concours de médecine. Depuis il mène de front ces deux passions !
Pour ce dernier concert de la saison à Radio France sous la direction de leur directeur musical depuis septembre 2015, Mikko Franck, l’Orchestre Philharmonique de Radio France est une nouvelle fois apparu en pleine forme.
L’Orchestre National du Capitole de Toulouse, sous la baguette de Tugan Sokhiev, et Orfeón Donostiarra offraient à la Halle aux Grains de Toulouse un Roméo et Juliette de Berlioz qui s’est avéré inégal. Serait-ce lié à un effet « salle » ?
Jukka-Pekka Saraste était invité à diriger le Philharmonique de Radio France pour un programme exclusivement viennois : Anton Webern, Alban Berg et Johannes Brams. C'est surtout la quatrième symphonie de Brahms qui faisait l'intérêt de ce concert.
La venue de l’Orchestre Philharmonique de Rotterdam au Théâtre des Champs-Elysées est depuis plusieurs années l’un des événements parmi les plus attendus de la saison symphonique parisienne. Encore une fois, un grand moment musical fut au rendez-vous.
L'Orchestre Philharmonique de Radio France très en forme en cette rentrée comme en témoigne ce concert avec Vasily Petrenko à la direction et le pianiste Behzod Abduraimov. Un plaisir pour le spectateur.
La venue à la Philharmonie de Paris pour trois concerts de l’Orchestre du Gawandhaus de Leipzig et de son directeur musical, Riccardo Chailly, était un événement très attendu. Comme les deux précédents, ce dernier concert était consacré à Richard Strauss et Mozart. Cette troisième soirée fut tout à fait exceptionnelle.
Après une ouverture de saison triomphale à Radio France la semaine dernière, l’Orchestre Philharmonique de Radio France et son nouveau directeur musical, Mikko Franck, étaient cette fois invités à la Philharmonie pour un intelligent programme associant le Concerto pour violon d’Erich Wolfgang Korngold et Le Chant de la terre de Gustav Mahler.
Pour son premier concert en tant que directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Radio France, le chef finlandais Mikko frappe fort. Vivement le suite….
L’affluence était celle des grands soirs en ce 3 septembre pour le début de la saison symphonique à la Philharmonie de Paris. Au programme, deux classiques du répertoire, le « Don Quichotte » de Richard Strauss et la dixième symphonie de Chostakovitch par l’orchestre symphonique de Boston et son jeune et brillant directeur, Andris Nelsons.
Un Requiem allemand de Brahms parfaitement abouti, d’une réalisation exemplaire, d’une beauté chorale à couper le souffle et d’une très riche émotion contenue qui font honneur au Rundfunkchor Berlin.
Programmer trois œuvres chorales de Johannes Brahms, Pascal Dusapin et Maurice Duruflé était déjà très une belle idée. Surtout, lorsque le chœur invité pour la circonstance est un des meilleurs ensembles européens, le RIAS Kammerchor. Magnifique soirée donc que ce concert donné à la Philharmonie 2 (anciennement Cité de la Musique), malheureusement devant une salle peu remplie.
On attendait beaucoup de cette production du Roi Arthus de Chausson à l'Opéra de Paris mais force est de reconnaître que cette redécouverte ne fut qu’un demi-succès ou plutôt même un demi-échec.
En cette année 2015 qui honore les 150 ans de Sibelius, Mikko Franck, futur directeur du Philharmonique de Radio France, propose un concert qui lui est entièrement dédié. Quatre œuvres à la fois différentes et typiques du grand compositeur finlandais étaient au programme de ce magnifique concert.
Pour les 150 ans de l'anniversaire de Sibelius, redécouvrons Kullervo, un poème symphonique avec chœur d'hommes et solistes, l’acte de naissance de la musique finlandaise moderne.
Une représentation de la symphonie dramatique Roméo et Juliette qui est enthousiasmante par certains côtés, mais aussi décevante par beaucoup d’autres : triomphe du chœur Aedes.
La nouvelle série B de l'Orchestre Nationale de France comprend un magnifique Concerto pour orchestre de Bartók animé mar un vrai et audible engagement collectif.