Un concert malheureusement en deçà de ce à quoi l'Orchestre National de Lyon nous avait habitués. Christian Ihle Hadland tire néanmoins son épingle du jeu.
Embarquement immédiat pour la croisière 2017-2018 de l’Auditorium. Le concert d’ouverture annonce une programmation colorée dont l’exécution en finesse et maturité résulte tout d’abord de l’interaction fusionnelle entre l’ONL et son chef Leonard Slatkin.
L’Auditorium célèbre les 70 ans du minimaliste en sa présence, avec l’ONL sous la direction de Leonard Slatkin et l’éblouissante violoniste Hilary Hahn dans le concerto de Tchaïkovski
La Rhapsody in blue de Gershwin jouée délicatement et fougueusement par Katia Buniatishvili fait suite aux coups de feu de Copland et précède l’orgie musicale de Berlioz.
Voyage en Orient, en Grèce ; voyage dans le temps également, où derrière une programmation presque exclusivement consacrée à Ravel, on parvint à saisir l'effervescence artistique de son époque.
Pour l'Orchestre National de Lyon, l'hiver naissant est l'occasion de célébrer le répertoire de la musique russe. Au cœur des festivités, cette intégrale Tchaïkovski, dont nous avons entendu la première et la quatrième symphonie.
Quelle intelligence dans la programmation de l'Orchestre National de Lyon ! Articuler autour de la même vision d'un "nouveau monde" la symphonie éponyme de Dvořák, la vision du chaos ouvrant la Création de Haydn, et Tout un monde Lointain de Dutilleux fut fort ingénieux.
Premier grand rendez-vous lyrique de la saison 2016-2107, le Requiem de Verdi a tonné dans l’Auditorium de Lyon ce jeudi 24 septembre. Entre la transparence de la lumière divine et la foudre du jugement dernier, chœurs, solistes et instrumentistes ont épuisé toute la palette sonore à leur disposition.
De Bach à Ligeti en passant par Copland et Strauss, l'Orchestre National de Lyon dialogue superbement avec le grand orgue de Vincent Warnier le temps d'une ravissante soirée aux caractères nuancés.
Gil Shaham triomphe du Concerto pour violon et orchestre, op. 11 de Samuel Barber, faisant presque oublier que l'œuvre de la soirée n'est autre que l'intense Barbe-Bleue de Bartok, porté à des sommets d'intensité par l'Orchestre National de Lyon.
L’Orchestre national de Lyon nous offre une soirée de musique française, avec pour invité d’honneur le jeune violoniste Daniel Lozakovitj. Au programme, des œuvres de Saint-Saëns pour orchestre, orchestre et violon, et la Symphonie n°3 « avec orgue ».
Hélène Grimaud était attendue les 17 et 19 septembre aux côtés de l’OnL dirigé par Léonard Slatikin à l’Auditorium de Lyon. Malheureusement, la pianiste étant souffrante, elle a été remplacée par l'américain Nicholas Angelich entraînant quelques désistements dans le public qui n'a pas été perdant dans ce changement!
L’Auditorium de Lyon ouvre sa saison en fanfare sur Shakespeare, l’hymne de Beethoven et une création européenne de Mason Bates par l’époustouflante violoniste Anne Akiko Meyers
Au programme de cette soirée où l’ONL et Leonard Slatkin ont invité Joshua Bell, des escales dans des univers de douceurs ou de puissances, toujours contrastés et aux influences celtique et dansante.
Leonard Slatkin led the New York Philharmonic with flautist Robert Langevin in a concert featuring Copland’s El Salón México, Ravel’s Gaspard de la nuit, Boléro, and the New York Philharmonic premiere of Christopher Rouse’s Flute Concerto.
Probably the most impressive aspect of Chicago Symphony Orchestra’s 2013-14 season has been its consistent commitment to musical diversity. Here, Barber and Gershwin shared the bill with William Schuman and Mason Bates.
It was a night that didn't augur well for those Hollywood Bowl patrons seeking the usual symphonic serenade under starlight. Los Angeles, on Thursday night, was seized by a sudden heat wave that was accompanied with stifling humidity more fitting for Manila or Saigon than the Hollywood Hills.