Samedi dernier, dans l’Amphithéâtre de la Cité de la Musique, Cédric Tiberghien projetait sur Beethoven une singulière lueur. En traversant ces quatre sonates avec une abnégation et un sang-froid véritables, il s’est libéré et a libéré en même temps le public
Les premières incartades d’Ivo Pogorelich lui ont valu une volée de bois vert de la presse spécialisée. Pourtant, quel détracteur saurait expliquer son agacement, sinon parce qu’il connaissait les œuvres et ne les reconnaît plus ?