Critiques récentesEn voir plus...
Sommets de l'émotion et de la musique de chambre au TCE

Un dimanche matin au Théâtre des Champs-Élysées et un concert d'anthologie, porté par l'alto de Lise Berthaud, le piano d'Adam Laloum, la voix de Lucile Richardot, le violon de Pierre Fouchenneret...
Concert de Paris : l’ONF fait le show au Champ de Mars

L’Orchestre National de France clôt sa saison le soir du 14 juillet lors du Concert de Paris, au pied de la tour Eiffel, en compagnie de quelques-unes des stars lyriques les plus en vue du moment.
Orgie de Brahms aux Bouffes du Nord : premier round

Compte-rendu du premier volet réussi d'un marathon 8 concerts regroupés sur 4 jours, 13 musiciens, et 25 œuvres en terres brahmsiennes.
La leçon sur l'art de diriger les orchestres par Neeme Järvi

Mettre ensemble, faire avancer la musique, modeler les phrases, les nuances, donner les départs sans jamais s'interposer ni entre le public et les musiciens ni entre eux et la musique : voilà la leçon de direction donnée par Neeme Jarvi.
La pudeur à l’œuvre: l’élégance tragique de Stéphane Degout et Emmanuel Krivine

On aurait pu craindre, le temps d’une Maurerische Trauermusik nous confirmant l’inadéquation de l’acoustique du TCE à l’effectif symphonique classique, que le choix de l’économie et de la joliesse, au détriment de l’émotion et de la profondeur, ne vienne blanchir la dureté d’un programme composé de véritables chefs-d’œuvre.
« Peu de science, un peu de cœur » : l’autre XIXème de l’ONF

Eminent choix de programmation que d’adjoindre à l’attendu Stabat Mater de Rossini l’amène Symphonie n°3 de Schubert et, surtout, l’inédit Chant Funèbre de Stravinsky, retrouvé en 2014 à Saint Pétersbourg et ici en création.