Pour pénétrer dans l’univers de Georges Benjamin, acceptons d’éprouver l’impermanence des climats, de l'écriture, qui joue un peu de sa virtuosité. Avec la 1e Symphonie de Brahms, c’était également l’occasion pour Harding de densifier la pâte orchestrale et faire chanter les voix intérieures. Il s’en est magnifiquement tiré.