Il ne m’appartient pas de savoir exactement à quoi tient la supériorité des pianistes espagnols dans Granados, mais entre autres choses, ils en possèdent naturellement l’idiome… Attention cependant à ne pas en contaminer le reste du répertoire ! Ce soir, même Chopin avait goût d’huile d’olive, la moindre Nocturne se payant des airs d’Alborada.