Des réfugiés anonymes rejetés sur la plage d’un luxueux complexe hôtelier ; ainsi l’enfer surgit-il à l’improviste aux portes du paradis terrestre. Un langage coloré qui masque tout sauf les vulgarités de la bourgeoisie autoproclamée : c’est loin d’être le seul contraste sur lequel surfe Bosch beach.