On aurait pu craindre, le temps d’une Maurerische Trauermusik nous confirmant l’inadéquation de l’acoustique du TCE à l’effectif symphonique classique, que le choix de l’économie et de la joliesse, au détriment de l’émotion et de la profondeur, ne vienne blanchir la dureté d’un programme composé de véritables chefs-d’œuvre.