En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Stéphane Degout

Si la mise en scène sombre et dépouillée de Laurent Pelly montre ses limites, Stéphane Degout se distingue pour ses débuts dans le rôle-titre, formidablement suivi par le reste de la distribution.

Sabine Devieilhe triomphe dans Lakmé à l'Opéra Comique, dans un spectacle visuellement un peu terne mais musicalement superbe.

La légende brahmsienne de Die schöne Magelone se déploie de manière inégale mais néanmoins élégante grâce au chant de Stéphane Degout et Marielou Jacquard et à la prose de Roger Germser.

De retour à l’Opéra Comique, l'œuvre d’Ambroise Thomas n’a rien perdu de son pouvoir de fascination, portée par deux des plus grandes voix du moment et par la mise en scène de Cyril Teste.

Le Capitole accueille le chef-d’œuvre d’Alban Berg mis en scène par Michel Fau. Au sein de cette production de qualité, Stéphane Degout se distingue dans le rôle-titre.

Falstaff très réussi à l'Archevêché d'Aix-en-Provence, pour notre plus grand plaisir : une véritable leçon de joie dans un monde où, nous dit-on, tout n'est que farce.

Rentrée en demi-teinte pour l'Orchestre de l'Opéra de Lyon qui ouvre sa saison par une série de concerts symphoniques, avec ce soir un Stéphane Degout particulièrement inspiré en dépit d'un chef moins convaincant. 

Concert entièrement dédié à Mahler à la Philharmonie avec l'Orchestre de Paris et le Finlandais Jukka-Pekka Saraste, pour une Symphonie n° 6 très impressionnante mais un peu plate par moments.

Le lyricophile James Gray fait ses débuts à l'opéra, avec une mise en scène des Noces de Figaro séduisante à l'œil mais un peu sage. 

Stéphane Degout et Cédric Tiberghien proposaient aux Bouffes du Nord un riche programme, mêlant mélodie et lied pour une soirée riche en contrastes. 

L'esthétique du metteur en scène canadien convient parfaitement à l'œuvre de Gluck. Prestations éblouissantes de Gaëlle Arquez et Stéphane Degout. Direction musicale admirable de Thomas Hengelbrock.

On aurait pu craindre, le temps d’une Maurerische Trauermusik nous confirmant l’inadéquation de l’acoustique du TCE à l’effectif symphonique classique, que le choix de l’économie et de la joliesse, au détriment de l’émotion et de la profondeur, ne vienne blanchir la dureté d’un programme composé de véritables chefs-d’œuvre.

Combinant humour, étrangeté et références aux grands compositeurs du passé, Pinocchio s’adresse à tous, enfants comme adultes, et offre de nombreux niveaux de lecture.

Merveilleux récital du baryton Stéphane Degout et du pianiste Cédric Tiberghien : premier des lundis musicaux de l'Athénée. Récital entre poésie, suprises et élégance. 

Surréaliste, psychanalytique, ce Pélléas et Mélisande l’est donc assurément. Mais c’est peut-être sa naïveté, sa tendresse presque enfantine, qui l’emporte.

Pour cette deuxième reprise de la désormais célèbre production de Werther de Massenet mise en scène par Benoît Jacquot, c’est un tout nouveau plateau qui succède aux deux précédents

Véronique Gens est une Alceste exceptionnelle. Par sa présence vocale et scénique, elle règne sur le plateau en grande tragédienne.

Pelléas et Mélisande de Debussy est à l’affiche de l’Opéra de Paris. Comment ne pas s’enthousiasmer pour cette œuvre si délicate, si évocatrice, servie pour l’occasion par des interprètes hautement dévoués ?

La qualité est au rendez-vous pour cette nouvelle production de la Chauve-souris de Johann Strauss, avec des musiciens remarquables, une nouvelle adaptation du livret en français et une mise en scène pleine de surprises.

Avec un Philharmonia au meilleur de sa forme, un plateau exceptionnel et une direction intelligente, ce fut une sensationnelle représentation de l'unique opéra de Debussy.

Cette saison, l’Opéra Comique fête ses 300 ans. Intitulé « Si l’Opéra Comique m’était conté », le gala célébrant le tricentenaire de l'institution retraçait son histoire en donnant un aperçu des créations emblématiques du lieu. Une frise chronologique efficace et très bien servie.

Homoerotische Softpornos sorgen bei der Premiere von Hector Berlioz Grand opéra für ein ungewöhnlich lautstarkes Buh-Konzert – trotz einer Vielzahl von musikalischen Highlights.

Dreisig, Degout, Jaroussky – the cream of French singing puts the history of female composers on show for International Women's Day.

El exotismo de la India conquista el Teatro Real con la ópera de Léo Delibes bajo la direción de Leo Hussain.

Even outstanding soloists had to wait their turn in this Rolls-Royce performance in Aix-en-Provence.

Zwar litt die Inszenierung an bekannten oder braven Wirrungen, doch überzeugten Gesangs- und Instrumentalensembles mit kontrastreicher, kräftiger und griffiger Sprache in trüben Zeiten.

Cecilia Bartoli leads a great cast in Gluck’s masterpiece, presented in Zurich in a new insightful production by Andreas Homoki.

Bertrand de Billy made his debut with the LPO in an all-French programme headlined by Fauré's Requiem and preceded by a rewarding pairing of Poulenc's Organ Concerto and Sept Repons des Tenebres

A devilishly fun performance of Gounod's take on Goethe, saved when Mandy Fredrich flew in at short notice to take over the role of Marguerite. 

Tcherniakov reduces Berlioz' epic to little more than Circle Time therapy, a poor way to mark the composer's anniversary year.

Hamlet lives! Ambroise Thomas' operatic take on The Bard has a particularly French ending but that doesn't spoil this terrific revival in Paris. 

Despite a great cast led by Marina Rebeka, La Fura dels Baus's unambitious approach to the myth of Faust and Dan Ettinger's noisy conducting prevent a brighter season opening at the Teatro Real.

Un segundo reparto muy solvente encabezado por Ismael Jordi dieron vida a la propuesta escénica de Alex Ollé en una nueva producción en el Teatro Real de la ópera de Gounod Faust.

George Benjamins neue Oper beschreibt eindringlich einen durch Liebe hilflosen König – Hannigan und Degout füllen die tiefgründige Musik mit hingebungsvollem Emotionsspiel.

George Benjamin and Martin Crimp's second full scale opera is a refinement of the craft showed in Written on Skin – but the lessons are less in love and violince than in power, tension and beauty of the score.

A (nearly) complete performance of the original French version of Don Carlos forms the centrepiece of Daniele Rustioni's Verdi Festival in Lyon. 

If I wrote that I loved Philippe Boesmans' Pinocchio, my nose may grow a little. The 81-year old composer in collaboration with Joël Pommerat, shifts the tale far away from any cutesy Disney fantasy, returning it to the harsh reality of Carlo Collodi's original fable.

Nothing is better than when Berlioz ramps up the decibels. With a huge orchestra and choir and a deluxe starry cast assembled in Strasbourg, this was a special performance. 

Mit dieser neuerlichen Belgien-Produktion unterstrichen Ensemble und Dirigent ihren Ruf als vorzügliche und lebendige Opernausleuchter.

Under the baton of René Jacobs, B’rock Orchestra gave an inspired performance  that ought to contribute in giving Il ritorno d’Ulisse in Patria the place it deserves in the standard repertoire.

The singing is the main attraction in Dutch National Opera’s Le nozze di Figaro, but this new production is also entertaining and looks good enough to eat.

Suave baritone Stéphane Degout was mood – and word – perfect in the brooding melancholy of Debussy. In perfect collusion with pianist Alain Planès, he was even better in droll fables by Poulenc and Ravel.

Trotz minimalster Unstimmigkeiten allein wegen der flüssigen, dramatischen Ausgestaltung mit hervorragendem Chor und Solistenglanzlichtern summa cum laude für das Opus Summum.

A decadent romantic programme of Wagner and Mahler, where Nathalie Stutzmann delivered a scintillating performance particularly in Wagner's Prelude.

Great opera at the Los Angeles Philharmonic as Esa-Pekka Salonen conducted Debussy’s Pelléas et Mélisande as part of the City of Light, a retrospective that examines works seen in Paris during the first half of the 20th century. 

Musikalisches Effektfeuerwerk erorbert Kölner Hochburg mit hervorragenden Solisten und perfektem B'Rock Orchestra unter René Jacobs.

Leah Hausman's revival of David McVicar's production allows the comedy to stem from the situations set up by Mozart and da Ponte... aided by Erwin Schrott's witty Figaro.

Whimsical program of French symphonic and operatic works opens the CSO's "French Reveries and Passions" festival.

“Acting is the expression of a neurotic impulse. It’s a bum’s life,” stated the late, great Marlon Brando. Felix Breisach took this idea to heart when staging his modernized Figaro in a mental institution.