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Le chef et les musiciens ont proposé des interprétations exceptionnelles dans un programme pourtant riche en tubes (Prélude à l'après-midi d'un faune, Bolero...).

Dans Les Quatre Saisons comme dans Mozart, le violoniste-chef du Concert de la Loge montre sa capacité à donner toute leur éloquence et leur souffle vital à des partitions (trop) souvent entendues.

L’Ensemble Orchestral Contemporain se joint à l’Orchestre National d’Auvergne le temps d’un concert placé sous le signe du néo-classicisme, entre Stravinsky, Ravel et Prokofiev.

Session de rattrapage à La Chaise-Dieu après l'annulation du festival cet été : sous la direction de Bruno Mantovani, l'Ensemble Orchestral Contemporain interprète brillamment Gérard Pesson, Bastien David et Édit Canat de Chizy.

L'édition 2019 du Festival de La Chaise-Dieu s'est achevée en apothéose avec l'Accademia Bizantina d'Ottavio Dantone. La contralto Delphine Galou et le violoniste Alessandro Tampieri ont été les deux grandes voix de la soirée.

Sous la direction peu convaincante de Paul McCreesh, le Gabrieli Consort a livré un programme italien inégal, malgré l'incarnation brûlante de la mezzo-soprano Ann Hallenberg.

Dans le discret auditorium Cziffra, les quatre musiciens offrent un formidable périple de Mozart à Mendelssohn, en passant par le méconnu opus 15 de Dohnányi.

Le Collegium Vocale Gent et l’Orchestre des Champs-Élysées sous la direction de Philippe Herreweghe dans un programme Bruckner/Schubert : une musique pleine de gravité, proposée avec intensité par un très grand chef.

« Le Combat de Saint Michel » par l'ensemble Pygmalion : un fil conducteur inédit, déroulé d’une main de maître par un Raphaël Pichon toujours aussi excellent dans ce répertoire.