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Paris Opera Ballet has triumphantly revived Kenneth MacMillan’s Mayerling, two years after its company premiere in 2022. 

Avec trois œuvres datées des années 1960 et 1970, l’Opéra de Paris fait redécouvrir le répertoire de Jerome Robbins, emblématique de la danse néoclassique, entre minimalisme et paillettes, avec une touche d’humour.

A shimmering smorgasbord of some of today’s most exciting international dancers, who performed pristine works by Petipa.

In the 48th Nijinsky Gala of his 50-year tenure, John Neumeier curated a well-balanced and thrilling evening of dance with a most impressive roster of dancers.

Quinze ans après le décès de Maurice Béjart, l’Opéra de Paris remet à l’honneur le chorégraphe dans un triptyque magnifiquement défendu par les danseurs du Ballet.

Deux ans après le décès de Patrick Dupond, l'hommage prit la forme d'une somptueuse soirée de gala, avec le défilé du Ballet et l'interprétation de trois œuvres emblématiques du parcours du danseur.

Drame sulfureux en trois actes s’inscrivant dans la veine des grandes fresques narratives léguées par MacMillan, Mayerling laisse un goût d'inachevé malgré la belle prestation du Ballet de l'Opéra de Paris.

De ce ballet vieux de bientôt deux siècles, les hommes sont soit absents soit médiocres. Les femmes, elles, passent à la postérité, unies dans l'au-delà. L'acte II offre un grand moment de sororité.

Pierre Lacotte rend un dernier hommage à l’Opéra de Paris en lui offrant un nouveau ballet classique de grande envergure, inspiré du roman de Stendhal Le Rouge et le Noir.

Dix ans après la disparition du chorégraphe français Roland Petit, formé à l’école de danse de l’Opéra de Paris, l’institution lui rend hommage dans un programme en trois parties.

Malgré quelques temps forts, en particulier la reprise brillante de Herman Schmerman, la soirée « Etoiles de l’Opéra » laisse un avant-goût mitigé sur l'avant-scène du Palais Garnier.

Beatrice Rana and Mario Brunello provide live music for seven internationally renowned dancers, including Paris Opéra Ballet’s Hugo Marchand and Spanish flamenco whizz Sergio Bernal, at the 15th-century Rocca Brancaleone.

Après plus de dix ans d’absence, le ballet classique Raymonda est de retour à l’Opéra de Paris dans la chorégraphie de Rudolf Noureev. Un réel moment de féérie et de délectation pour les amateurs de danse.

La compagnie ouvre la nouvelle saison en célébrant la chorégraphie cinquantenaire, expression du plus pur style balanchinien, dans une interprétation virtuose et pleine d’esprit.

Cette soirée est l’occasion de redécouvrir Balanchine et sa conception des ballets qui s’ancrent dans le corps, la personne et l’âme des danseurs pour les sublimer de façon graphique.