L’Opéra de Lyon montre avec une nouvelle et révolutionnaire mise en scène de Romeo Castellucci le dépouillement radical d’une figure-symbole souvent soumise aux récupérations idéologiques ; la direction congéniale de Kazushi Ono sublime l’œuvre d’Arthur Honegger et de Paul Claudel, en en préservant la spiritualité mystérieuse