Tabea Zimmermann aura offert au Victoria Hall la création d’un concerto du genevois Michael Jarrell de toute beauté, ainsi qu’un Debussy ourlé de mille couleurs sous la direction d’un Pascal Rophé inspiré. On aura regretté un Stravinski un peu en deçà et décousu qui aura certainement fait les frais de la préparation de la création.
Un programme original, un orchestre compétent et des musiciens invités reconnus : tous les ingrédients étaient réunis pour un grand concert, mais quelques petits problèmes dans la réalisation ou choix artistiques étonnants vinrent nuancer l'impression générale.