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Le metteur en scène français transpose avec succès l'action dans l'Angleterre des années 1960, bien suivi par l'ensemble de la distribution, très homogène.

Le metteur en scène imagine une mise en abyme qui montre ses limites. Sur le plan musical c'est en revanche une réussite, de Nathalie Stutzmann à la baguette à Stéphanie d'Oustrac dans le rôle-titre.

Dans des circonstances émouvantes, l'Orchestre Symphonique de la Monnaie, les chœurs de la maison bruxelloise et l'alto Nora Gubisch ont livré une interprétation mémorable de cette œuvre-fleuve.

À la tête des forces associées de l'Orchestre Symphonique de la Monnaie et du Belgian National Orchestra, le chef évite l'écueil d'une flamboyance superficielle dans cette œuvre aux effectifs monumentaux.

Après deux premiers volets signés Castellucci, Pierre Audi conclut la série dans la lignée de son Siegfried avec un opus simple et cohérent, magnifié par de superbes lumières et par la direction musicale d'Alain Altinoglu.

Des forces orchestrales et chorales exemplaires, des solistes de premier plan et un chef inspiré : il n'a rien manqué à l'œuvre de Verdi, écoutée dans un silence religieux par une salle captivée.

Cent ans après le décès de Giacomo Puccini à Bruxelles, la maison belge propose une nouvelle production de son ultime ouvrage inachevé, dans une intéressante mise en scène de Christophe Coppens.

A marathon double bill using music from Verdi's early operas largely falls flat in Brussels. 

La mise en scène lourdingue d'Àlex Ollé est heureusement compensée par l'interprétation musicale, portée par une distribution, un orchestre, un chœur et un chef inspirés.

Plus entendue à Bruxelles depuis 1953, l'œuvre du compositeur de Samson et Dalila sort de l'oubli grâce à une belle distribution menée avec sensibilité par Alain Altinoglu.

Si la mise en scène sombre et dépouillée de Laurent Pelly montre ses limites, Stéphane Degout se distingue pour ses débuts dans le rôle-titre, formidablement suivi par le reste de la distribution.

Dans cette nouvelle production quasi monochrome signée Damiano Michieletto, La Monnaie dévoile un Rosenkavalier magnifiquement mélancolique, porté par la direction d'Alain Altinoglu.

En ouverture de saison, la production mise en scène par David Marton et dirigée par Nathalie Stutzmann est un succès, porté par une belle distribution.

La reprise de la production d'Olivier Py s'avère un spectacle magistral servi par une distribution de premier ordre, malgré les répétitions perturbées par un virus...

Après Lohengrin et Tristan, Alain Altinoglu poursuit sa belle série wagnérienne avec une formidable version de concert de Parsifal à Bozar. Shenyang est la révélation de la soirée dans le rôle de Klingsor.

Le metteur en scène allemand respecte le caractère propre à chaque partie du trittico puccinien, tout en tissant des liens subtils entre les œuvres.

A priori intéressante, l'idée de Rafael Villalobos de greffer le destin de Pasolini sur celui l'œuvre de Puccini ne prend pas, en dépit d'une distribution engagée et d'une direction d'orchestre remarquable. 

Deuxième moitié du diptyque lyrique italien proposé par l'opéra bruxellois, l'opéra de Donizetti est interprété par une distribution inégale, dans laquelle s'illustrent notamment Vittorio Prato et Raffaella Lupinacci.

Dans un diptyque de concerts mis en espace et diffusés en streaming, La Monnaie nous fait entrer dans l'univers brillant et élégant de l'opéra romantique italien, avec une distribution vocale assez inégale.

L'opéra de Korngold se dévoile à La Monnaie dans une mise en scène grandiose de Mariusz Treliński, mêlant le cauchemar et la perversion à la tendresse et à la rédemption.

Le duo de metteurs en scène Jean-Philippe Clarac et Olivier Deloeil mettent en scène la trilogie Mozart-Da Ponte à La Monnaie. Place à un Figaro contemporain tourbillonnant et plein d'imagination.

Dans une production contemporaine et provocatrice mettant directement en lien les opéras de la trilogie Mozart-Da Ponte, le casting vocal se montre à la hauteur malgré certaines incohérences de mise en scène.

Le duo de metteurs en scène Jean-Philippe Clarac et Olivier Deloeil mettent en scène la trilogie Mozart-Da Ponte à La Monnaie. Dans une production aux allures de série télévisée, Così constitue un épisode très convaincant.

Les Contes d’Hoffmann reviennent à La Monnaie. Si la mise en scène hollywoodienne de Krzysztof Warlikowski montre ses limites, l'interprétation musicale n'appelle que des éloges.

Castellucci s'approprie le mystère musical de Honegger et Claudel dans un spectacle stupéfiant, servi par la fabuleuse comédienne Audrey Bonnet. 

La saison bruxelloise s'ouvre sur un événement : la création de Macbeth Underworld de Pascal Dusapin. L'œuvre inégale est portée par la mise en scène de Thomas Jolly et la performance des solistes.

Dmitri Tcherniakov's staging turns Rimsky-Korsakov's opera into storytelling for an autistic boy, but does he deliver a fairy tale ending? 

L'opéra peu connu de Rimsky-Korsakov bénéficie de la géniale mise en scène de Dmitri Tcherniakov et d'une distribution de toute beauté.

Le chef-d'œuvre wagnérien bénéficie de la mise en scène intelligente et subtile de Ralf Pleger et d'un couple-titre convaincant. Très grande prestation d'Alain Altinoglu à la baguette.

À La Monnaie, La Gioconda bénéficie d'une distribution pleinement satisfaisante. La mise en scène sombre et glaçante d'Olivier Py laisse une impression plus mitigée.

Mis en scène par Laurent Pelly, Don Pasquale de Donizetti est présenté à La Monnaie : une machinerie réglée au millimètre près, sur la fabuleuse vis comica d’une musique extraordinairement efficace.

Retour de Romeo Castellucci à La Monnaie, pour une Flûte enchantée attendue avec impatience. On s'attendait à une mise en scène non conventionnelle. On fut servi.

Laurent Pelly exploits the satirical side of Rimsky-Korsakov's The Golden Cockerel at La Monnaie in a darkly humorous but colourfully performed production.

Despite its failings, La Monnaie turn Gaspare Spontini's 1805 La vestale into a fascinating evening's opera.

Hell hath no fury like a woman scorned. Scorned womanhood has no better archetype than Euripides's Medea. And you're unlikely to see a more powerful or affecting Medea than Nadja Michael's performance in Cherubini's opera Médée, in the first production of the new season at La Monnaie in Brussels (De Munt, if you're a Flemish speaker.)Like all good Greek tragedy, we all know the story.