En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Amandine Albisson

Le célèbre ballet créé en 1876 au Palais Garnier fait son entrée au répertoire de l'Opéra national de Paris dans une version « rétro » signée Manuel Legris qui peine à convaincre.

Avec trois œuvres datées des années 1960 et 1970, l’Opéra de Paris fait redécouvrir le répertoire de Jerome Robbins, emblématique de la danse néoclassique, entre minimalisme et paillettes, avec une touche d’humour.

Quinze ans après le décès de Maurice Béjart, l’Opéra de Paris remet à l’honneur le chorégraphe dans un triptyque magnifiquement défendu par les danseurs du Ballet.

La rentrée sous contraintes du Ballet de l'Opéra de Paris met en avant les chorégraphies difficiles et géniales de Rudolf Noureev, généralement très bien menées par les danseurs de la compagnie.

La reprise de Don Quichotte à la Bastille, dans la version de Rudolf Noureev, affiche de prometteuses distributions, avec une première marquée par de très belles variations solos, peu d’accrochages et un corps de ballet globalement concentré.

La compagnie ouvre la nouvelle saison en célébrant la chorégraphie cinquantenaire, expression du plus pur style balanchinien, dans une interprétation virtuose et pleine d’esprit.

Le Ballet de l’Opéra de Paris reprend Roméo & Juliette, l’une des plus brillantes pièces de Rudolf Noureev, entrée au répertoire de la compagnie en 1984 et régulièrement dansée depuis.

It’s the end of the 17/18 season for most ballet companies and for many, this means rounding off with a glitzy gala night. I feel these performances always go in one of two directions: they’re either a Greatest Hits or a bit of a patchwork quilt.