Critiques récentesEn voir plus...
Entre gris clair et gris foncé : Don Giovanni par Stéphane Braunschweig
Il sera bien malaisé pour le spectateur de trouver dans ce morne tableau la ferveur conjuguée d’Eros et de Thanatos, ou encore, comme souhaité, le désespoir des années SIDA. Ni gaie, ni triste : la chair, ici, indiffère.
Tristan und Isolde au Théâtre des Champs-Elysées
Pour ce Tristan und Isolde proposé au Théâtre des Champs-Elysées, Daniele Gatti dirige un Orchestre National de France très inspiré et un duo vocal en or, Torsten Kerl et Rachel Nicholls, étoiles d'une distribution équilibrée. Une production vraiment satisfaisante, dans une mise en scène soignée de Pierre Audi.
Jeanne d'Arc à Toulouse
Pour cette œuvre si particulière, la salle de la Halle aux Grains était poussée dans ses retranchements physiques, ouvrant l’arrière-scène, son balcon, et la fosse à orchestre afin d’accueillir presque deux cents musiciens.