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La soprano de 26 ans est la grande révélation de la nouvelle production de l'Opéra national du Rhin dirigée par Christoph Koncz et mise en scène par Amélie Niermeyer.

La création mondiale d'Until the Lions de Thierry Pécou à l'Opéra national du Rhin bénéficie d'une belle distribution et de la direction attentive de Marie Jacquot, mais ne convainc pas entièrement.

Le programme prévu par son nouveau chef n'ayant pu être proposé, l'orchestre mulhousien a offert au public un concert Mozart, Beethoven, Brahms dont certaines parties furent brillantes, d'autres moins convaincantes.

Avec une version noire et dépouillée de West Side Story, Barrie Kosky et Otto Pichler révèlent l'essence et les potentialités d'une œuvre trop peu explorée jusqu'à présent.

Sous la direction idéale de Clemens Heil et avec la complicité virtuose de Claire Désert, l'Orchestre Symphonique de Mulhouse a montré son appétence pour le répertoire romantique.

La violoniste et l'orchestre ont enthousiasmé le public de La Filature par leur interprétation d'une grande finesse des Quatre Saisons recomposées de Max Richter.

Carmen est à l'affiche en ce mois de décembre à l'Opéra national du Rhin à Strasbourg, dans une production où brille l'étoile Stéphanie d'Oustrac.

Autour du soliste David Guerrier et du jeune chef James Salomon Kahane, l'Orchestre Symphonique de Mulhouse fait preuve de brio dans un programme qui mettait en avant ses vents.

L'opéra méconnu de Verdi bénéficie d'une belle direction musicale, d'une mise en scène parfaitement lisible et d'une distribution convaincante.

Donné en version de concert abrégée, l'opéra de Haendel bénéficie d'une distribution vocale très solide, dans laquelle se distingue la mezzo-soprano Diana Haller.

Carried by a handful of standout performances, Britten’s story of madness and infection comes into its own in 2021, in the Opéra National du Rhin's clever and inventive staging. 

Présenté par Marina Chiche et adressé plus particulièrement aux aînés de la ville, ce concert mulhousien est une belle réussite, alliant mise en place minutieuse et énergie expressive. 

De la trompette de Marc Geujon aux valses de Strauss, retour sur le concert du Nouvel An donné par l'Orchestre Symphonique de Mulhouse à La Filature et diffusé sur Facebook.

Après avoir maintenu le lien avec son public durant le confinement grâce à des vidéos produites et diffusées par ses membres, l'OSM est réapparu "en vrai" à La Filature. Soirées exceptionnelles tant pour leur organisation que pour la qualité des interprétations offertes.

La phalange mulhousienne a donné une création française de Kareem Roustom avant une brillante Symphonie espagnole par Alexandra Soumm. La Symphonie « italienne » de Mendelssohn a moins convaincu.

À la Filature, le pianiste et chef d'orchestre fait belle impression, aux commandes de la Symphonie n° 5 de Sibelius comme dans le Concerto n° 4 de Beethoven. Très belle pièce de Caroline Shaw.

À La Filature, l'ouverture de saison symphonique a fait honneur à Berlioz : la Symphonie fantastique et le monodrame lyrique Lélio ont fait l'objet d'un beau travail de la part du chef Jacques Lacombe.

Dans le cadre du Festival Arsmondo, l'Orchestre Symphonique de Mulhouse dirigé par Ken-David Masur donnait un programme consacré à Golijov, Ginastera et Beethoven, avec le pianiste Gabriel Urgell Reyes.

L'Orchestre Symphonique de Mulhouse a accueilli le violoniste et chef d'orchestre Augustin Dumay, dans deux œuvres concertantes de Mozart et dans la Symphonie n° 4 de Beethoven. Un ensemble à la fois inspiré et brillant.

À l'Opéra du Rhin, la recréation de l'irrésistible Barkouf, opéra-bouffe d'Offenbach qui n'avait plus été donné depuis 1861, frappe par son actualité.

Une Rose des vents orientée vers le le Proche-Orient avec l'Ouverture de L'Enlèvement au Sérail de Mozart et une création mondiale de Jean-Luc Fafchamps : La Lettre soufie : Fà.

Ode à la légèreté et à la liberté, les Noces mozartiennes rassemblent également assez de faux-semblants et de jeux de masques pour rassasier les appétits de tout metteur en scène facétieux qui se respecte. 

Soirée viennoise à la Filature de Mulhouse, en compagnie de Patrick Davin et du pianiste Rémi Geniet, pour le concert de clôture de la saison 2016/17.

En avril, le concert de l'Orchestre Symphonique de Mulhouse pour la saison 2016-2017 a proposé un programme quelque peu bouleversé par l'absence, pour raison de santé, du violoniste Nemanja Radulovic vivement attendu cependant par le public après son exceptionnelle prestation d'il y a quelques mois à Mulhouse.

Faire naviguer les différents protagonistes de cette œuvre dans le huis clos sombre de la demeure de Bly, traiter les émotions de ces différents personnages sous le prisme de leur inconscient et rendre compte d’un réalisme froid tout au long de cet production de The Turn of the screw reprise à l'Opéra national du Rhin.

Anne Teresa de Keersmaeker's Counter Phrases at the Philharmonie 2 in Paris.

L'Orchestre Symphonique de Mulhouse proposait en mars un concert de musique française. On pourrait envisager la Faust-Symphonie de Liszt dans une certaine continuité, sachant ce qu'elle doit particulièrement à Berlioz.

Le programme de la saison musicale à Mulhouse s'est enrichi le 12 novembre d'un nouveau concert. L'orchestre symphonique de Mulhouse sous la direction de Patrick Davin était associé à des invités qui comptent. Le compositeur allemand  Johannes Schöllhorn, les Neue Vocalsolisten de Stuttgart, enfin le violoniste Nemanja Radulovic dont l'originalité le dispute à la virtuosité.

L’Opéra national du Rhin propose de redécouvrir la Pénélope de Fauré mis en scène par Olivier Py, avec dans le rôle-titre une Anna Caterina Antonacci toujours excellente, fidèle à sa réputation de grande tragédienne.

Avec une mise en scène originale, l'Opéra National du Rhin donne une version convaincante du dernier opéra de Mozart: La Clémence de Titus.