Live, Video: Find classical music concert, opera, ballet and dance reviews | Dorothée Gilbert

Paris Opera Ballet has triumphantly revived Kenneth MacMillan’s Mayerling, two years after its company premiere in 2022. 

A shimmering smorgasbord of some of today’s most exciting international dancers, who performed pristine works by Petipa.

In the 48th Nijinsky Gala of his 50-year tenure, John Neumeier curated a well-balanced and thrilling evening of dance with a most impressive roster of dancers.

Even within a line-up boasting some of the greatest international stars from across the world, it is the youngest couple, making their UK debuts, who captivate the audience.

The POB struggles to connect to the Nureyev legacy, in an underwhleming performance of La Bayadère. 

Internationally-renowned dancers perform a diverse range of choreography for the Russian Ballet Icons Gala's tenth anniversary.

The Russian ballerina Galina Ulanova is a true legend in the world of classical ballet. Her dramatic interpretations plumbed deep into the human soul and revealed its full gamut of emotion and poetic beauty.

Drame sulfureux en trois actes s’inscrivant dans la veine des grandes fresques narratives léguées par MacMillan, Mayerling laisse un goût d'inachevé malgré la belle prestation du Ballet de l'Opéra de Paris.

De ce ballet vieux de bientôt deux siècles, les hommes sont soit absents soit médiocres. Les femmes, elles, passent à la postérité, unies dans l'au-delà. L'acte II offre un grand moment de sororité.

Pierre Lacotte rend un dernier hommage à l’Opéra de Paris en lui offrant un nouveau ballet classique de grande envergure, inspiré du roman de Stendhal Le Rouge et le Noir.

La rentrée sous contraintes du Ballet de l'Opéra de Paris met en avant les chorégraphies difficiles et géniales de Rudolf Noureev, généralement très bien menées par les danseurs de la compagnie.

Après plus de dix ans d’absence, le ballet classique Raymonda est de retour à l’Opéra de Paris dans la chorégraphie de Rudolf Noureev. Un réel moment de féérie et de délectation pour les amateurs de danse.

La Fille mal gardée est une comédie haute en couleur mais aussi ballet virtuose, où les variations s’enchaînent allègrement. Pour cette reprise, la performance théâtrale des interprètes de l’Opéra de Paris, particulièrement débridés dans les seconds rôles, est remarquable.

La reprise de Don Quichotte à la Bastille, dans la version de Rudolf Noureev, affiche de prometteuses distributions, avec une première marquée par de très belles variations solos, peu d’accrochages et un corps de ballet globalement concentré.

La musique de Stravinsky aurait pu être la ligne directrice de cette soirée, qui débutait avec Agon et se terminait par le Sacre du Printemps (version Pina Bausch). Mais Grand Miroir, la nouvelle création de Saburo Teshigawara, suspend le fil musical de Stravinsky par une parenthèse plus méditative : le Violin Concerto composé et dirigé par Esa-Pekka Salonen.

Cette soirée est l’occasion de redécouvrir Balanchine et sa conception des ballets qui s’ancrent dans le corps, la personne et l’âme des danseurs pour les sublimer de façon graphique.

La Bayadère, ballet féérique hérité de Rudolf Noureev, est de retour à l’Opéra de Paris dans une mise en scène étincelante et une distribution virtuose.