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Que les voyeuristes impénitents se précipitent au prochain récital que donneront ensemble Denis Matsuev et Julian Rachlin ! Objet de curiosité publique pour certains, soirée tout sauf subtile pour d'autres. A réserver aux fanatiques de "gros son" avant tout.

Achevé en 1985 et créé à Mannheim en 2013, l'Idiot de Mieczysław Weinberg est une authentique rareté. Première reprise depuis, on est ravi qu'elle ait enfin été présentée dans des conditions musicales et vocales qui lui rendent pleine justice et contribuent à la sortir toujours un peu plus de l'oubli.

Pour clôturer la saison, le théâtre du Bolshoï donne sa version de la Damnation de Faust de Berlioz, avec la complicité du metteur en scène allemand Peter Stein. Version respectueuse du livret et de la partition, qui cherche la beauté et la force expressive avant tout.

Concert Mozart - Schnittke - Brahms, qui nous permet notamment d'entendre le concerto pour alto de Schnittke, oeuvre d'une incroyable richesse stylistique et expressive.

Au programme de ce soir, de la musique russe tournée sur son propre passé, et s’inscrivant dans la grande lignée de ce qui l’a précédée. Au programme : Rubin, Medtner et Rimsky-Korsakov.

Concert 100% Rachmaninov au conservatoire de Moscou, avec le pianiste Denis Matsuev entouré de la basse Mikhaïl Petrenko, du violoniste Gayk Kazazyan et du violoncelliste Alexandre Ramm. Interprétations spectaculaires s'il en est.

Pierre-Laurent Aimard nous propose l'intégrale du premier cahier du Clavier bien tempéré de Bach. Une expérience singulière à la recherche d'une unité dans la diversité des préludes et fugues.

Les amoureux de Prokofiev sont servis : le compositeur fête aujourd’hui ses 125 ans ! Pour l’occasion, l’orchestre du théâtre Mariinsky, avec à sa tête Valery Gergiev, vient à Moscou souffler les premières bougies d’un « Marathon Prokofiev » chronologique qui se poursuivra en parallèle à Moscou et Saint-Pétersbourg.

S’il est une chose qui caractérise Prokofiev, c’est bien son imagination débordante. Les cinq premières sonates pour piano nous le prouvent, avec les pianistes Daniil Trifonov ,Katia Skanavi, Ilya Rashkovskiy et Denis Kozhukhin.

Dans la grande salle de la Philarmonie Tchaïkovsky de Moscou, le pianiste Alexandre Ghindine Il nous offre un récital au pianisme galopant, dominé par les figures de Liszt, Chopin et Scriabine, tous trois pianistes de renoms, maîtres dans l’art d’écrire pour l’instrument.

Tenor Dmitry Korchak was the pick of the soloists in this concert performance by Novaya Opera. 

Intrada's concert on the Great Feast Day of Orthodox Christmas featured first performances of music by Peter the Great's favorite composer Vasily Titov in more than 300 years.

The Bolshoi dancers Anna Tikhomiova and Artemy Belyakov shine in the stylish and poetic version of La Sylphide by Johan Kobborg.

After being banned in Soviet times, The Bright Stream made a glorious comeback in a new version by Alexei Ratmansky. 

Etudes is a welcome addition to the Bolshoi's repertoire.

Lantratov played Onegin with considerable nuance and intensity.

Mikhail Lobukhin gives a stunning performance as Ivan in the bolshoi's production of Ivan The Terrible

The Bolshoi chooses musicality and technique over special effects with Yuri Grigorovich's beloved classic.

Balet Moskva's prize winning cafe Idiot shows that Russian contemporary ballet is not there yet, but is making great progress. 

The Bolshoi's soloists perform La Bayadère with distinction 

Given the unappealing score and the lack of narrative and meaninful choreography, the dancers perform heroically.

While the ballet's libretto is dated, The Golden Age can, when performed by great artists, be both an entertaining and emotionally satisfying ballet.

Olga Smirnova's performance as Raymonda, at the Bolshoi, was nothing short of extraordinary. 

The Bolshoi Ballet's Nutcracker's simple narrative spans both acts with no extraneous characters and activities.

The 30 members of the male corps de ballet almost stole the show at the Bolshoi with the astonishing power of their dancing, alongside a leading quartet of soloists in Legend of Love.

A unique collaboration between choreographer Yuri Possokhov and theatre director Kirill Serebennikov who adapted Lermontov's novel for the Bolshoi's new stage.

The Stanislavsky Ballet presents a triple bill dedicated to the late American choreographer Jerome Robbins. A fresh performance, with guest performances by Natalia Osipova and Sergei Polunin.

Ballet Moscow closes its season with a last performance of Eros. Minos. a duet of works by Anabelle Lopez Ochoa and Juanjo Arquez.

The Bolshoi ballet presents again Neumeier's Lady of the Camellias, after its succesful entry into the repertoire in 2014.

A Soviet sun shines down on Ratmansky's The Bright Stream at The Bolshoi Theatre in Moscow. From its 2003 première, his Bright Stream became an instant hit with audiences both at home and abroad – and it’s easy to see why.