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L'opéra de Verdi en est à sa troisième nouvelle production en douze ans dans la Grande Boutique, pour un succès – une fois encore – avant tout musical…

Ce trittico fera date, grâce à un travail d’équipe exceptionnel d’où se distinguent notamment Christof Loy, Carlo Rizzi et l’incroyable Asmik Grigorian dans les trois rôles féminins de l’ouvrage.

Si la mise en scène ne convainc toujours pas dans cette production créée en 2016, la direction musicale et le rôle-titre sont autant d'atouts qui magnifient le chef-d'œuvre de Verdi.

Dans une mise en scène épurée, Asmik Grigorian est la grande triomphatrice de la production ; sous la direction de Franz Welser-Möst, les Wiener Philharmoniker sont au meilleur de leur forme.

L'opéra de Moussorgski ravit dans toutes ses dimensions : orchestre coloré, baguette haletante de Paolo Arrivabeni, plateau très homogène et mise en scène aiguisée.

Le Crépuscule des dieux a lancé la dernière étape du Ring en version de concert à la Philharmonie, par Valery Gergiev et les artistes du théâtre Mariinsky.

Troisième épisode de L'Anneau du Nibelung en version de concert à la Philharmonie de Paris, par Valery Gergiev et le Mariinsky, six mois après deux premiers volets mitigés.

Premier volet d'une "tétralogie de concert" à la Philharmonie de Paris, par Valery Gergiev et le Théâtre Mariinsky, pour un Or du Rhin exigeant mais prometteur.

Pour cette nouvelle production du célèbre opéra de Tchaïkovsky, l'Opéra national du Rhin a fait appel à la baguette de Marko Letonja et à la mise en scène de Robert Carsen.

When does opera direction go too far? Marie-Ève Signeyrole provides the answers in her tasteless, explicit staging of Verdi's Macbeth in Berlin. 

Die Neuinszenierung von Tschaikowskys Pique Dame an der Bayerischen Staatsoper überzeugt vor allem durch vokale und instrumentale Hochspannung.

The only great success of composer Italo Montemezzi finds new life at La Scala, in a production by La Fura dels Baus with a solid cast, led by conductor Pinchas Steinberg.

Trotz teils exzellenten sängerischen Leistungen war es ein insgesamt durchwachsener Opernabend, der deutlich hinter seinen Möglichkeiten zurückblieb.

Five highly dissatisfied lead characters find only disastrous or ambiguous outcomes. Yet there are few greater operas than this.

Valery Gergiev finally turns up to conduct an electrifying evening, crowned by Asmik Grigorian's full throttle performance as Liza. 

Exceptional singing, an auspicious conducting debut and a staging that is both sophisticated and emotionally involving make this production an unequivocal winner.

In Tarkovsky's venerable production, the Mariinsky orchestra and chorus are brilliant – but too brilliant for their soloists, including two replacement Borises for an indisposed Mikhail Petrenko.

The performance bids for musical purity, but ends up stripped of story and emotion as well. 

People who claim that opera is nothing more than a glorified pantomime would have their prejudices confirmed at Deutsche Oper Berlin's Un ballo in maschera. This is, however, high praise. It’s an evening of camp entertainment, not a philosophy lesson.

If you let yourself be transported to director David Bösch’s strange world, you'll find an Elisir d'amore that is heartbreaking and uplifting by turns.

The Wales Millennium Centre in Cardiff celebrates its 10th anniversary this autumn, and as part of the celebrations the Mariinsky Opera, under its conductor Valery Gergiev, was invited back for a concert performance of Prokofiev’s comic opera, Betrothal in a Monastery.