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Pour sa rentrée, l’OPPB a élargi ses horizons habituellement symphoniques pour proposer une première session autour d'une production de Così fan tutte, en partenariat avec la compagnie Opéra Éclaté.

Au Clermont Auvergne Opéra, Pierre Thirion-Vallet réussit son pari d'une Traviata qui va à l'essentiel. Erminie Blondel transcende sa Violetta, Matthieu Justine impose Alfredo et Jiwon Song s'affirme en Germont.

La production de Paul-Emile Fourny fait enfin ses débuts à l’Opéra de Massy, avec un duo principal qui ne manque pas de qualités mais peine à trouver l'alchimie qu'exige l'œuvre de Bizet.  

Un duo formidable et une mise en scène efficace : porté par Petra Lang et Michael Weinius, le Crépuscule des Dieux de Dieter Dorn est venu clore la tétralogie genevoise avec panache.

L'Or du Rhin marque la réouverture du Grand Théâtre de Genève rénovée. Un bonheur d'équilibre, entre la saisissante mise en scène de Dieter Dorn et une distribution vocale des plus convaincantes.

Une prise de rôle attendue et convaincante dans une production offrant un bel équilibre vocal. 

Deuxième opéra de l'été aux Chorégies et une Traviata dominée par un trio vocal d'une précieuse homogénéité. 

Un spectacle magnifique en cette fin de saison à Genève ! Tout y resplendit de noirceur dans cette farce géniale d’un Verdi qui va bientôt nous dire au revoir... Génie !

Une très belle production du Médecin malgré lui de Gounod, servi par un Sganarelle savoureux entouré d’une troupe convaincante, dirigée de main de maître par un Laurent Pelly plein de malice qui nous livre un opus riche et sensible, riant sans parodiant, sans enflure ni surenchère. 

Un plateau homogène, des voix lyriques à souhait, un chef palpitant et un Orchestre de la Suisse Romande aux aguets auront rendu les honneurs à ce divin Verdi ! Rien que pour la Leonore de Csilla Boross, le voyage à Genève est nécessaire : Maledizione à ceux qui manqueront ce spectacle! 

La Wally au Grand Théâtre de Genève, à l’ombre des Alpes qui tissent la toile de fond.

Des chanteurs, talentueux, une mise en scène efficace, un orchestre convaincant : tels sont les ingrédients d'un succès mérité.

More of a distraction than an enhancement, Ulrich Rasche’s giant steel machine grinds down the performers of this dark Elektra, which ultimately stumbles over its own feet.

A huge revolving grey monolith centre stage dominated a grey floor, grey props and men in grey costumes, all detracting from the gaiety Verdi envisaged as the essence of Falstaff.