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Retour de La Traviata à l'Opéra Bastille, dans la mise en scène de Benoît Jacquot. Aleksandra Kurzak et Jean-François Borras portent cette production du célèbre opéra de Verdi.

La production reprenait mise en scène, décors et costumes de la création toulousaine 2008-2009 amenée à l’époque par Michel Plasson et Nicolas Joel, et qui avait connu un succès certain, des Chorégies d’Orange à la ville rose. La part d’inconnue résidait surtout dans le plateau et l’individualité des voix.

Fort d’un public acquis à l’œuvre de Verdi, le Théâtre du Capitole renoue une nouvelle fois avec le compositeur italien sous la baguette érudite de Daniel Oren, prédicateur du génie révolutionnaire désormais habitué à la scène toulousaine.

Originalement conçue, cette nouvelle production de l'opéra de Rossini a tout pour séduire, nous divertir et nous suprendre.

Le cinéaste Benoît Jacquot, réalisateur des Adieux à la reine trois fois auréolé aux Césars 2013, s'invite à l'Opéra National de Paris et, en bon nostalgique du drame lyrique traditionnel, relève l'épineux défi de s'attaquer à un monument du répertoire opératique.

Damiano Michieletto’s intriguing production of Rigoletto is set in a mental hospital, and sidelines emotion in favour of analysis. The singing, on the other hand, is heartfelt and exciting.

Puccini's Il Trittico, performed last night at the Opéra Bastille in Paris, is a unique item in the repertoire: a series of three one act operas with little to link them except the composer's conceit of what would work together in an evening. Each opera clocks in at something under an hour, and despite the relatively short duration, each has plenty of time to develop its characters.