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En ouverture du festival basque, la formation sur instruments d'époque a fait merveille sous la direction de Pierre Bleuse dans un programme intégralement ravélo-espagnol.

L'opéra de Ravel remporte son match face au ballet de Stravinsky Pulcinella, plutôt décevant, alors que l'inénarrable Stéphanie d'Oustrac remporte un triomphe dans le rôle de Concepción.

Avec une distribution entièrement renouvelée en raison du Covid-19, L'Heure espagnole de l'Opéra de Lyon réussit des prouesses et la féérie de Ravel est au rendez-vous.

La nouvelle production de L'Heure espagnole à l'Opéra de Lyon, magnifiquement portée par la vidéo, rend hommage à Ravel en même temps qu'au vaudeville, au music-hall et à la comédie musicale. Succès garanti !

Créé il y a bientôt quinze ans à Garnier, le diptyque réuni par Laurent Pelly occupe aujourd’hui la scène plus monumentale de Bastille. Son ancrage dans le plaisir de la comédie continue de séduire.

Une bien belle soirée ravélienne, qui aura mis en valeur un Orchestre de la Suisse Romande décidémment en grande forme sous la direction raffinée de Charles Dutoit, expert de la musique française.

Editor Ben Willis almost convinced me that two grown men could fit inside grandfather clocks

Guest conductor Charles Dutoit returned to Los Angeles for a program devoted to one of the composers he is most closely associated with. 

In the nearby city of Winterthur, Zurich’s fine International Opera Studio (IOS) recently premiered two short operas by Maurice Ravel, a flashy L’Heure espagnole and a lyrical L’Enfant et les sortilèges.

Cologne Opera's staging of Ravel's two comedies needed a stronger directorial response to the performance space, but the musical rewards compensated.

Sultry Spanish rhythms and bawdy humour are counterbalanced by Gallic charm in the return to Glyndebourne of Laurent Pelly’s productions of L’Heure espagnole and L’Enfant et les sortilèges. Danielle de Niese joined a largely Francophone cast to ensure this joyous revival fizzed.

Josep Pons strode purposefully onto the Barbican stage to conduct the BBC Symphony Orchestra in a performance of Haydn’s “Clock” Symphony. The first movement opened by way of an Adagio laden with a suitable sense of portent, the layers of writing for the strings being clearly articulated to bring this out.