Diplômé de l’École Centrale Paris et titulaire d’un Doctorat en Biophysique Moléculaire, Jean-Marc occupe différentes fonctions dans le secteur de l’environnement. Passionné de musique depuis l’enfance, il étudie le saxophone, le piano, puis se forme au chant lyrique (ténor). S’il s’intéresse à tous les styles et toutes les formes de musique, l’opéra est sa grande passion.
En osmose avec la direction musicale d’Ariane Matiakh, la mise en scène de Clément Hervieu-Léger cimente l’équilibre de cet édifice opératique, qui séduit autant par sa beauté que par sa cohérence.
Fidèle à sa mission de redécouverte du répertoire français, l’Opéra Comique fait renaître La Dame blanche, chef-d’œuvre de Boieldieu, dans une production convaincante.
C’est un accueil triomphal que reçoit cette nouvelle production parisienne de La Traviata, placée sous le double signe de la jeunesse et des réseaux sociaux.
On reste un peu sur sa faim avec cette Passion selon Saint Matthieu dans laquelle l’extrême clarté de la narration ne laisse pas assez de place à la spiritualité.
Un mois après le succès de La finta pazza, l’Opéra de Dijon assure avec Les Boréades un nouveau temps fort de la saison lyrique française, sous la direction d'Emmanuelle Haïm et dans la mise en scène de Barrie Kosky.
Annoncée comme un des sommets de la saison lyrique nationale, la recréation française de La finta pazza de Sacrati à l’Opéra de Dijon tient toutes ses promesses.
Quasiment oublié depuis sa création en octobre 1854, La Nonne sanglante retrouve enfin les honneurs de la scène. Souhaitons-lui une très longue seconde vie !
Pour ouvrir sa saison 2018, l’Opéra Comique, fidèle à ses missions, propose Et in Arcadia Ego, un opéra contemporain construit autour de musiques de Jean-Philippe Rameau.
Cette reprise de Falstaff fait la part belle à l’esprit buffa et donne à Bryn Terfel une nouvelle occasion de briller dans un rôle qui lui sied à merveille.
Spectacle total et foisonnant, Kein Licht réussit à stimuler la réflexion sans que l’émotion en pâtisse. Et si l’avenir de l’opéra se trouvait dans le nouveau genre du Thinkspiel ?
Combinant humour, étrangeté et références aux grands compositeurs du passé, Pinocchio s’adresse à tous, enfants comme adultes, et offre de nombreux niveaux de lecture.
Qu’on adhère ou non au propos de Katie Mitchell, on ne sort pas indemne de ce spectacle qui donne à entendre des pages sublimes, mais sort délibérément le spectateur de sa zone de confort.