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Au Concert de Paris, les stars de la musique classique se sont succédées devant les caméras de télévision, sous la Tour Eiffel. Pour de beaux moments, malgré la lourdeur des paillettes du 14 juillet.
Le Théâtre des Champs-Élysées nous a permis de découvrir la Reine de Chypre, opéra oublié de Fromental Halévy, avec à l'affiche Hervé Niquet et Véronique Gens. Une oeuvre tout finesse et d'une grande efficacité dramatique.
Peter Konwitschny's production strips away much of the religious symbolism, presenting the difference between Jews and Christians as little more than the dyed colour of their hands.
Top tenors Lawrence Brownlee and Michael Spyres dared to duel at the Concertgebouw. Both emerged victorious, and not just because of the volley of sensational top notes.
Richard Wagner, reviewing La Reine de Chypre for the Dresden Abend-Zeitung, praised Halévy's opera as “decidedly the best that has appeared on the Opéra's boards since Meyerbeer's Les Huguenots”. It's impossible not to agree.
Mit Augenmerk auf die politische Dimension kann die Inszenierung von Halévys La Juive am Nationaltheater Mannheim aufgrund komischer Brechungen und einer gemischten Gesangsleistung nicht überzeugen.
La Juive, Fromental Halévy's grand opéra, makes a powerful return to Gothenburg, the same city where it received its Swedish première 150 years ago, in Günther Krämer’s stark staging.
