En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Gary Hoffman

Dans le cadre de la Biennale de quatuors à cordes, les Jérusalem revisitent leur Dvořák et proposent un Quatuor « Américain » et un Sextuor plus exubérants que jamais, avec Gary Hoffman et Miguel da Silva.

En compagnie de Miguel da Silva et Gary Hoffman, le jeune Rolston Quartet a fait mieux que formuler une promesse au public parisien, interprétant notamment une formidable Nuit transfigurée.

Un concert d'anthologie où Yura Lee et Gary Hoffman s'insèrent parfaitement au Quatuor de Jérusalem, si bien que la signature sonore si reconnaissable, comme un souffle, du quatuor israélien est preservée. 

Jan Talich porte courageusement le lourd héritage de gloire qu'a laissé son père. Ce soir malheureusement, il n'est resté que la lie du son magique des Talich d'antan. Dans ce déluge de couacs, d'iniquités et d'à-peu-près, la musique est passée à la trappe.

As he does when his spirit is most honestly invoked, Schumann spoke directly across the ages through Moraguès and Pinto-Ribeiro, and in the process allowed the two musicians to reveal the dimensions of their own love for music.

Eldar Nebolsin, Corey Cerovsek and Gary Hoffman did not completely answer whether Tchaikovsky's Piano Trio is chamber music that wants to be a ballet score or vice versa, but the intoxicating beauty of their playing banished all doubts of whether the answer mattered. 

Katya Apekisheva and friends made a persuasive case for Hummel's Piano Quintet to be heard as a transitional grand romantic concerto deserving of belonging in such august company.

The Hallé’s end-of-season Dvořák festival continued with the Seventh Symphony, Cello Concerto and Slavonic Dance no. 2 from the Op.72 set.