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Plutôt à l’aise dans un florilège de pièces à programme évocatrices de la mythologie grecque, l’Orchestre Pasdeloup est rejoint par François Dumont pour un Concerto n° 4 de Beethoven qui manque de relief.

Dix ans après la disparition du chorégraphe français Roland Petit, formé à l’école de danse de l’Opéra de Paris, l’institution lui rend hommage dans un programme en trois parties.

La compagnie ouvre la nouvelle saison en célébrant la chorégraphie cinquantenaire, expression du plus pur style balanchinien, dans une interprétation virtuose et pleine d’esprit.

L’Orchestre Pasdeloup revient à la Philharmonie dans un programme varié qui mêle la musique de Kaija Saariaho à Prokofiev et Beethoven. Au pupitre, le chef ukrainien Mykola Diadiura, avec le pianiste Abdel Rahman El Bacha.

La beauté des traits croqués par Wolfgang Doerner, de même que la solidité de pupitres aux nombreuses parties solistes valent le détour, et l’on comprend quel défi a pu constituer pour les trente ans de l’Orchestre une telle fresque.

Toujours soucieux de proposer à un public varié une musique à la croisée des genres, l’Orchestre Pasdeloup a donné à la Philharmonie de Paris un programme d'une cohérence, d’une rigueur et d’une générosité rares.

The Orchestre Pasdeloup contributes tales to the Philharmonie's Mille et une Nuits festival of music inspired by the Orient.