En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Vitaliy Bilyy

Macbeth de Verdi revient sur les planches toulousaines plus de 20 ans après sa dernière représentation dans une magnifique coproduction.

Une mise en scène portée par une fidélité au texte rafraîchissante, qui ne s’encombre heureusement jamais d’une inutile rigueur documentaire, et révèle la prometteuse Marina Rebeka.

Adaptation du roman littéraire de Sir Walter Scott, l’opéra de Donizetti est créé en 1835, équilibrant parfaitement action scénique romantique et nécessités du bel canto. Dans la veine du livret de Salvatore Cammarano, Nicolas Joël choisi une mise en scène classique.

Adaptation de l’œuvre de Victor Hugo, l’Ernani de Verdi capte les tensions de la société d’Ancien Régime révélée par un amour impossible entre Elvire et ses trois prétendants le roi Don Carlo, le vieux duc Donc Ruy Gomez de Silva et celui qu’elle aime en secret Ernani. Les adeptes du bel canto seront servis durant cette soirée.

Proposition étonnante, la programmation des deux oeuvres dans une même soirée fait le pari des contrastes, mais parvient difficilement à se tenir à distance d'un traitement narratif très vertical et moralisateur.

Loin de toute la monumentalité qui a pu rendre indigestes les belles mélopées et accents verdiens, souvent cantonnées aux grandes pompes et à un logos lourdement orientaliste, cet opéra à l’écriture pourtant raffinée, et à la profondeur mésestimée, méritait une telle relecture.

Malgré une sombre mise en scène, c'est le plateau vocal qui brûle les planches de cet impressionnant Trovatore à l'Opéra Bastille.

Le monde musical toulousain poursuit sa rentrée avec le premier opéra de la saison du Théâtre du Capitole : Un ballo in maschera de Giuseppe Verdi.

As Zaharia inhabited her role, the opera became almost entirely about her, to the extent that one wanted to watch her every movement and hear her every syllable.

Seis años después de una discutida producción, Aida de Verdi volvió al Municipal de Santiago en una magistral producción de Hugo de Ana, que se benefició de un excelente trabajo vocal, coral y orquestal.

An outstanding Azucena and solid vocal and orchestral performances more than make up for David Bösch's unappealing staging.

The Marx Brothers famously sent up Verdi's middle period masterpiece in A Night at the Opera and if Bösch doesn't exactly send up Trovatore's corrosive cocktail of infanticide, jealousy and vengeance, he undermines it with his staging.

David McVicar's six-year old production of Il trovatore returns to the Met with a starry cast:a model of clarity and mood compared with the Met’s previous staging.

An exciting cast starring Michael Fabiano and Leah Crocetto makes up for a slow and static production at San Francisco Opera's opening night.

A very good production of Luisa Miller by the Teatro San Carlo, set in Naples itself.

In San Carlo's Luisa Miller, top notch performances from Luciano Ganci and Elena Moşuc lead a concert performance which show what a great and underperformed work this is.

Nothing will make the plot of Il trovatore less ridiculous. But a director who embraces that ridiculousness, plus stellar playing and singing, make for a great show.

Nucci's studied performance of the title role in Simon Boccanegra ensured Verdi's drama shone profoundly.