Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Frédéric Antoun

À l'Opéra Bastille, le retour de la mise en scène d'Andrei Serban produit un Otello mitigé, où l'étincelante Aleksandra Kurzak répond à un Roberto Alagna défaillant.

La très attendue mise en scène de La flûte enchantée de Mozart au Festival d'opéra de Québec a valu un triomphe au metteur en scène Robert Lepage, qui a procédé à un véritable dépoussièrage de l'œuvre. 

Le Théâtre du Capitole accueillait Christophe Rousset et sa troupe pour l’Orphée et Eurydice de Gluck, avec un remarquable Frédéric Antoun dans le rôle d'Orphée.

Véritable précis de monadologie aux accents newtoniens, dont l’acuité et la précision le disputent à la chaleur et au charnel dans un tourbillon de couleurs, le Cosí de Keersmaeker mêle savamment mouvement et harmonie dans un geste aussi chorégraphique que musical. Pour un résultat saisissant !

Force est de constater que le millésime 2015 de ce grand cru opératique créé en 1999 est particulièrement réussi. À déguster sans modération !

Cette saison, l’Opéra Comique fête ses 300 ans. Intitulé « Si l’Opéra Comique m’était conté », le gala célébrant le tricentenaire de l'institution retraçait son histoire en donnant un aperçu des créations emblématiques du lieu. Une frise chronologique efficace et très bien servie.

Dans la nouvelle production de l'Opéra de Paris, Zabou Breitman porte L'Enlèvement au sérail de Mozart à l'écran glamour du cinéma muet. La vedette y a été volée par Anna Prohaska en Blonde.

A fresh approach to two late Mozart works earned the adulation of a Montreal Symphony Orchestra audience.

Cecilia Bartoli once again takes Zurich by storm under the guiding hand of Maestro William Christie for a wonderful evening of Handelian fun.

If ever a new production of a Mozart opera had a riveting backstory, this one is it. 

Sir Bryn Terfel’s Falstaff is still a cherishable rogue as he takes on the title role in Robert Carsen’s joyous staging at the Royal Opera. 

Adès opera resists explanation, and the ambiguity of the story drives much of its compelling nature. 

After all the speculation, Jonas Kaufmann made his role debut as Otello at The Royal Opera – an impressive, if not unqualified, success. 

Luis Buñuel's derision at the sense of entitlement of over-privileged, self-righteous prigs shines through a high quality operatic adaptation.

Kent Nagano and OSM wowed with cerebral approach to Carmina Burana.

Mit viel Zuspruch belohnte das Publikum der Salzburger Fespiele Thomas Adès, Tom Cairns und alle Musiker für eine stimmige und spannende Uraufführung. 

Zurich’s revival of Georges Bizet’s three-act opera Les pêcheurs de perles (The Pearl Fishers) pulls out all the stops, but it was not to everyone’s liking.

For frothy entertainment, Pelly’s Fille is harmless fun, even if it descends into pantomime cliché. Juan Diego Flórez’s Tonio ensures it remains a hot ticket and Patrizia Ciofi’s Marie is a bundle of energy.

After Cavalli’s Ercole Amante in 2009 and Handel’s Deidamia in 2011, De Nederlandse Opera is continuing its exploration of obscure Baroque operas with Gluck’s Armide, until 27 October.I always wondered why Armide was Gluck’s own favourite work.

Ambroise Thomas’s Hamlet has riled and infuriated ever since its 1868 première, though for many it is merely an object of derision: one 1869 correspondent to the satirical magazine Punch admits not having seen the work but nevertheless disparages it as ‘Omelette’, a musical ‘burlesque’, and pillories Thomas’s fondness for drinking songs with the lines ‘To drink or not to drink? That is now the que