En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Marie-Laure Garnier

Créé cet été pour commémorer le 150e anniversaire de la naissance de Ravel et pour la première fois mis en scène, l'opéra de Lazkano est surtout réussi sur le plan musical.

Le Théâtre Impérial-Opéra de Compiègne propose en tournée une vision réduite mais globalement convaincante du drame de Puccini, avec une soprano idéale dans le rôle-titre.

Décors et chorégraphie apportent du rythme à une production réglée au millimètre, dans la mise en scène d'Olivier Py comme dans la fosse sous la baguette de Chloé Dufresne.

Vingt-cinq compositrices, vingt-six compositions en un concert, du piano seul au lied et à diverses formations de chambre, c'est une belle idée mais c'est aussi une source de frustration...

Inspiré du film de Wim Wenders, l'opéra d'Othman Louati produit par la co[opéra]tive fait escale à Nantes. Un spectacle onirique fidèle à l'œuvre originale et interprété par une belle troupe.

Rarement donnée sur les scènes lyriques, l'œuvre de Benjamin Britten bénéficie d'une belle interprétation musicale mais pâtit d'une mise en scène trop peu engagée pour en traduire le message aujourd'hui.

Sous la direction de Michael Schønwandt, la formation éternellement jeune de France brille par sa cohésion, la transparence de sa texture orchestrale. Marie-Laure Garnier en impose dans Chausson.

Au Festival Un Temps pour Elles, deux concerts monographiques mettaient en avant les pépites méconnues de Charlotte Sohy et Dora Pejačević, interprétées par une belle équipe de jeunes chambristes.

Quasiment deux ans après la fermeture du premier confinement, le Théâtre du Capitole offre enfin au public le fameux ballet bouffon, dans une excellente mise en scène de Corinne et Gilles Benizio.

Avec son orchestre sur scène, son plateau ensanglanté et son excellente distribution, l'Elektra haute en couleurs de Michel Fau vient clôturer la saison amputée du Théâtre du Capitole.

Le Théâtre du Capitole accueille pour la première fois et dans une nouvelle production l’unique opéra de Paul Dukas : Ariane et Barbe-Bleue. Dans une mise en scène de Stefano Poda et sous la direction de Pascal Rophé.

Faire de la musique au plus niveau sans argent ? ça ne va qu'un temps et il faut être jeune et idéaliste pour réussir un tel pari.

La Comédie française, la littérature et la philosophie unissent leurs forces avec celles de la musique pour une lecture et un concert franco-russe qui resteront dans les mémoires.