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Le public fait un triomphe à cette reprise des Noces de Figaro, dont la mise en scène (Ivan Alexandre) respectant de très près le livret de Da Ponte met paradoxalement en lumière la modernité de l'œuvre.

Une première de l'année avec une œuvre fondamentale du répertoire, des changements notables qui marquent l'évolution du milieu musical : la reprise se fait sous de bons auspices, dans la mesure du possible, au Capitole.

Retour sur le dernier volet de la triologie Da Ponte à Versailles sous la baguette de Marc Minkowski.

Pas de changement de décor depuis Les Noces de Figaro l’an dernier : l’action de Don Giovanni se déroule ici encore entre un élégant théâtre portatif  de rideaux et de fausses coulisses, écrin idéal pour les lieux de représentation – Drottningholm puis Versailles.

Quoi de plus cohérent pour une saison versaillaise célébrant le tricentenaire de la mort du plus absolu des monarques français, que de programmer les subversives Noces de Figaro à l’Opéra Royal ?

La qualité est au rendez-vous pour cette nouvelle production de la Chauve-souris de Johann Strauss, avec des musiciens remarquables, une nouvelle adaptation du livret en français et une mise en scène pleine de surprises.

Ivan Alexandre y Marc Minkowski hermanan tres obras del combo compositor-libretista en una única dimensión, con más aciertos que fallos, presentando una propuesta fresca y viviente.

The third opera of the Mozart-Da Ponte trilogy opens the opera festival in Drottningholm, the "Swedish Versailles", with a good cast beautifully conducted by Marc Minkowski.

Excellent playing from Les Musiciens du Louvre and a mixed vocal performance are matched by a staging by Ivan Alexandre likely to be controversial.

Marc Minkowski und Ivan Alexandre bringen Glucks Armide auf die Bühne, doch das Konzept bleibt hinter seinen Möglichkeiten zurück und wird dem Werk nicht gerecht.

Le nozze di Figaro is called Figaro’s Bröllop in Swedish, which sounds quite funny to ‘non-Svensks’. With Marcellina behaving like a total trollop, all that is needed to complete the rhyming triplet are the Wallops at Glyndebourne.