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Le public fait un triomphe à cette reprise des Noces de Figaro, dont la mise en scène (Ivan Alexandre) respectant de très près le livret de Da Ponte met paradoxalement en lumière la modernité de l'œuvre.

Le lyricophile James Gray fait ses débuts à l'opéra, avec une mise en scène des Noces de Figaro séduisante à l'œil mais un peu sage. 

La nouvelle mise en scène de Laurent Pelly fait ses grands débuts. Distribution impeccable pour une production qui ne se cantonne pas à la légèreté de l'intrigue.

Retour sur le dernier volet de la triologie Da Ponte à Versailles sous la baguette de Marc Minkowski.

Pas de changement de décor depuis Les Noces de Figaro l’an dernier : l’action de Don Giovanni se déroule ici encore entre un élégant théâtre portatif  de rideaux et de fausses coulisses, écrin idéal pour les lieux de représentation – Drottningholm puis Versailles.

Il sera bien malaisé pour le spectateur de trouver dans ce morne tableau la ferveur conjuguée d’Eros et de Thanatos, ou encore, comme souhaité, le désespoir des années SIDA. Ni gaie, ni triste : la chair, ici, indiffère. 

Quoi de plus cohérent pour une saison versaillaise célébrant le tricentenaire de la mort du plus absolu des monarques français, que de programmer les subversives Noces de Figaro à l’Opéra Royal ?

Dans le cadre de la Biennale d'Art Vocal, le chef d'oeuvre sacré de Dvořák était surtout porté par un choeur Accentus et un quatuor de solistes superbes, l'orchestre de chambre de Paris sous la direction de Laurence Equilbey s'étant montré décevant.

Le 12 décembre 2014, La Clémence de Titus est représentée au Théâtre des Champs-Élysées : la suite du cycle Mozart débuté par l'excellent Jérémie Rhorer depuis quelques années. Une production qui rassemble beaucoup de beau monde… 

Berlioz' oratorio provides a welcome alternative to the usual Christmastime Messiah at the Maison symphonique. 

Ivan Alexandre y Marc Minkowski hermanan tres obras del combo compositor-libretista en una única dimensión, con más aciertos que fallos, presentando una propuesta fresca y viviente.

Le nozze di Figaro se presenta en Les Arts en la producción de Emilio Sagi y bajo la dirección musical de Christopher Moulds.

Laurent Pelly’s elegant musical stave production of Il barbiere di Siviglia, from the Théâtre des Champs-Elysées, charms and delights at the Edinburgh International Festival.

Ein frisches Rossini-Opernerlebnis, das nur haarscharf an der Höchstwertung vorbeischrammt. Dennoch zählt diese Produktion mit Solisten und Le Cercle de l'Harmonie zu einem meiner Highlights des Jahres.

The third opera of the Mozart-Da Ponte trilogy opens the opera festival in Drottningholm, the "Swedish Versailles", with a good cast beautifully conducted by Marc Minkowski.

Torsten Fischers Inszenierung am Theater an der Wien ist erwartungsgemäß einen Besuch wert.

Le nozze di Figaro is called Figaro’s Bröllop in Swedish, which sounds quite funny to ‘non-Svensks’. With Marcellina behaving like a total trollop, all that is needed to complete the rhyming triplet are the Wallops at Glyndebourne.

Peter Sellars successfully updated the ancient magic in Wagner’s opera Tristan und Isolde. Wagner had already modernised the medieval tale by focusing on the middle of the story, where the passion of the doomed lovers catches fire. Wagner treats the mythic origins of the romance as back-story recollected while passions are flaring.

It's about time someone wrote an opera about the internet. And who better than Nico Muhly - snarky blogger, snappy Tweeter, and according to the Daily Telegraph "the hottest young composer around"? Add seasoned playwright Craig Lucas, top Broadway director Bartlett Sher and some of Britain's finest singers, and you might expect them to cook up a success.