En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Isoldes Liebestod du Tristan et Isolde de Wagner, transc. pour piano, S 447

De Beethoven à Schönberg en passant par Mendelssohn, Brahms, Wagner, Liszt et Berg, le pianiste japonais a parcouru un univers entier en l'espace d'un récital.

Le piano orchestral de Clément Lefebvre trouve son plein accomplissement dans Liszt et dans les œuvres de jeunesse de Scriabine en seconde partie, après une première partie moins convaincante dans Debussy et Chopin.

Peu après Mikhaïl Pletnev et Alexander Malofeev, Nikolaï Lugansky est venu compléter le panorama de l'école russe du piano et montrer qu'il en était le patron, au fil d'un récital une nouvelle fois époustouflant.

S'il y a des récitals aux Lisztomanias, on y trouve également ce qui fait l'intérêt d'un festival : des cours publics d'interprétation, des conférences, des joutes pianistiques, des « concerts salades »...

Une, deux, quatre puis huit mains se sont retrouvées sur les pianos de La Scala Paris pour célébrer une musicienne singulière, dans un concert aux allures de réjouissant feu d'artifice.

Au festival dans le lieu où Chopin a composé l'essentiel de son œuvre, le pianiste espagnol s'empare de ses œuvres et de celles de Beethoven et Liszt pour les plier à sa façon à lui.

Dans la Chapelle des Rédemptoristes, le pianiste plonge l'auditeur des Lisztomanias dans un monde de douceur, d'équilibre et de chant.

Récital passionnant à la Fondation Vuitton du jeune pianiste anglais, qui se révèle maître dans l'art de faire chanter le piano.

Récital de haut vol que celui du pianiste ouzbek Behzod Abduraimov à la Fondation Louis Vuitton. Avec un programme s'articulant principalement autour de la Sonate en si de Liszt et de la Sonate n°6 de Prokofiev, c'est une magnifique leçon de piano qu'il nous offre.

Juan Pérez Floristán solventó con magnífica técnica un intenso e introspectivo programa con obras de Schubert, Liszt y Chopin.

An evening in which the piano – in some cases two, in others three – took centre-stage with members of the Osokins family.

Drama and poetry prevailed in Chamayou exhausting programme.

La gracilidad y una interacción perfecta coparon la partitura rusa, de una factura primorosa y que preludia, merced a su naturaleza misteriosa y sutil, páginas como el ballet Raymonda, de Alexander Glazunov. La reaparición de Baldocci también fue pretexto para intercambiar los instrumentos: un gesto que funciona como el correlato de la buena comunicación y una desenvoltura absoluta. 

Vikingur Ólafsson, a daring and unique artist, never repeated himself in a performance of Philip Glass' Etudes for piano as part of the Berlin Konzerthaus' "Festival USA".

Eleonora Buratto showed a voice with plenty of style and character, but her recital was not always inspired. 

Outside of the opera pit, Marc Albrecht and his Netherlands Philharmonic Orchestra demonstrated their magic at the Concertgebouw.

Norwegian Isa Katharina Gericke seized on the opportunity of building a programme around Kirsten Flagstad’s lieder repertoire to present an enjoyable recital at Stockholm’s Allhelgonakyrkan, together with pianist Bengt Forsberg. However, fine musicianship from this perfect team, and the exuberant charisma of this charming singer couldn’t remedy the fact that many of the songs lack substance.

Louis Lortie played the complete Années de pèlerinage on Saturday night at Carnegie Hall as part of David Lang’s ongoing collected stories.

I had three things to be excited about on Friday evening: seeing Fazıl Say in a solo recital – which I hadn’t done in 4 years, going to Zorlu Center – Istanbul’s newest and, according to reports, most modern and acoustically pleasing concert hall. The third is private.As it turns out, all but one of them turned out to be worth the anticipation.

In the relatively recent past, Russian pianist Nikolai Lugansky has featured impressively as an RSNO guest in concertos by two of his countrymen (Rachmaninov and Prokofiev). I was therefore very much looking forward to hearing him in the more intimate, less gladiatorial setting of an Edinburgh International Festival morning Queen’s Hall recital.

No wonder Jayson Gillham looked pleased to be back on stage at Birmingham Town Hall. It must have brought back some happy memories, as it was here that he won first prize in the 2011 Brant International Piano Competition. In the intervening couple of years, he’s built up an inspiring CV.