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Le programme « Proust, mots et musique » s'est avéré un bien curieux mélange, qui a malheureusement laissé la musique en général et le violoncelliste Steven Isserlis en particulier sur la touche.

Ce n'est pas tant à un concert mémorable qu'à une fête exceptionnelle, comme jaillie d'une époque révolue, que l'Orchestre des Champs-Élysées a convié les spectateurs de la Philharmonie.

Des transcriptions d'œuvres de Saint-Saëns jusqu'aux improvisations à quatre mains, le talent et l'esprit de Nathanaël Gouin et Paul Lay ont illuminé le festival castelroussin.

Déception à Radio France où la disposition de l'orchestre et la direction peu subtile de Kazuki Yamada plombent la Symphonie de Chausson. Alexandre Kantorow sauve la soirée dans Saint-Saëns.

Ce programme 100% Saint-Saëns voit briller Les Siècles et François-Xavier Roth mais déçoit pour ce qui est des œuvres avec Renaud Capuçon et Bertrand Chamayou.

Le duo Ludmila Berlinskaia – Arthur Ancelle a proposé un fastueux programme de compositions et d'arrangements pour deux pianos au festival Liszt en Provence.

Retour sur le concert d'ouverture de la deuxième édition du festival Musique en dialogue aux Carmélites.

Bryn Terfel propose un récital maléfique et jubilatoire aux Chorégies d'Orange !

Duo d’une rare complicité, Ludmila Berlinskaïa et Artur Ancelle, à l’occasion de la parution de leur troisième album à deux pianos, donnent en exclusivité à la salle Cortot la sonate en si de Liszt dans l’arrangement de Saint-Saëns.

Une soirée de feu mélânt orgue, harpe, percussions, danse et mise en lumière célébre les Lumières lyonnaises. 

L’Orchestre national de Lyon nous offre une soirée de musique française, avec pour invité d’honneur le jeune violoniste Daniel Lozakovitj. Au programme, des œuvres de Saint-Saëns pour orchestre, orchestre et violon, et la Symphonie n°3 « avec orgue ».

Artist-in-Residence Bomsori Kim joins Jun Märkl for a new chapter in the history of the Residentie Orkest, The Hague. 

French pianist Alexandre Kantorow and conductor Jérémie Rhorer make successful debuts with the Accademia Nazionale di Santa Cecilia. 

The Orchestra of the Age of Enlightenment dip into the late Romantic period to make the case for more Saint-Saëns in this rip-roaring concert under Russian conductor Maxim Emelyanychev.

The familiar and the fresh sit next to one another in a concert from Paris in the centenary of the composer's death. 

An evening in which the piano – in some cases two, in others three – took centre-stage with members of the Osokins family.

Milhaud reported “a spirit of carefree gaiety reigned” in 1920s Paris, a spirit Marcela Roggeri and François Chaplin's varied programme aimed to evoke.

Das Gürzenich-Orchesters rückt nicht nur das Komponistenbild zurecht, sondern generiert in packender Wiedergabe neue Fans für Saint-Saëns' Musik.

Attention to delivery, effective interpretation and intelligent programming is what make the duo such a consistently beloved force in concert.

Saint-Saens' “Dance of Death” and Orff's gaudy, medieval satire framed a stunningly-realised new commission from Guy Barker, with Alison Balsom playing against type. 

A dark thread ran through Yevgeny Sudbin’s recital at London’s Queen Elizabeth Hall, from the sombre B minor sonata by Haydn to Scriabin’s infamous “Black Mass” sonata and Saint-Saens’ virtuosic Danse macabre.

Rarely does one see five grand pianos in one room, let alone on one stage. Enter the 5 Browns, a classical piano quintet. Siblings and Juilliard graduates – they were the first family to be enrolled at the Juilliard School simultaneously – it is clear this family has talent. Performing individually and together, this young ensemble has a vivacious and affable approach to classical music.

Tenor Joseph Calleja, conductor Giuliano Carella and the Estonian National Symphony Orchestra presented an interesting choice of repertoire on Monday. The composers were celebrated Italian and French masters of opera, and the programme alternated between overtures for orchestra and arias starring Calleja.