Artiste: Thomas Hengelbrock

Martin Helmchen a déployé tout son talent, Thomas Hengelbrock n'a pas manqué de bonnes idées dans Dvořák, mais il a manqué un souffle spécial dans un programme somme toute peu cohérent.

Le chef allemand a peiné à donner à la Neuvième Symphonie de Dvořák son urgence dramatique, un manque qui s'est fait sentir dès la Symphonie n° 35 « Haffner » de Mozart en première partie.

Au côté d'une distribution inégale et d'un chef inspiré, Michieletto signe une mise en scène qui répond bien au double impératif du dramma et du giocoso, mais qui manque d'originalité et de poésie.

Der Gründer des Chores spricht über die ausführliche Recherche des Repertoires von der Renaissance bis zur Moderne.