Live, Video: Find classical music concert, opera, ballet and dance reviews | Hélène Guilmette

Palazzetto Bru Zane, spurred on by the zealous advocacy of conductor François-Xavier Roth, has turned to Saint-Saëns' very first opera, Le Timbre d'argent.

Poor intelligibility and lack of pace in the music or acting make L'Étoile into a disappointingly flat evening.

Kent Nagano and the OSM came up trumps in concert version of Debussy’s Pelléas et Mélisande.

Nearly three years after a memorable production of Les Indes Galantes, the Théâtre du Capitole reconnects with the master of the Treatise on harmony via Castor et Pollux, originally premièred by the Académie Royale in 1737.

L’étoile at the Dutch National Opera, directed by Laurent Pelly and conducted by Patrick Fournillier, is bubbly and light like a glass of sparkling wine, to be consumed without restraint. 

An ultimately disappointing Fauré Requiem gave way to an outrageously funny performance of Poulenc's comic opera Les mamelles de Tirésias with the BBC Symphony Orchestra and Ludovic Morlot.

Yannick Nézet-Séguin, the chorus and several soloists star in a dramatic version of Bach's St Matthew Passion in which l'Orchestre Métropolitain was less distinguished. 

Francis Poulenc’s 1957 opera Dialogues des Carmélites has the virtues of necessity. Director Robert Carsten’s production puts these virtues before us in simple black and white. The virtues begin with the story: Blanche, an aristocrat afraid of the French Revolution who hopes to find refuge in a nunnery, becomes a refugee of religious persecution, and chooses to die a martyr with her sisters.

Après quatre décennies d'absence des scènes lyriques françaises, l'œuvre de Lecocq revient à l'Opéra-Comique, sous la direction d'Hervé Niquet et dans une mise en scène de Richard Brunel.

Début de saison inégal aux Violons du Roy dans trois magnificats de la famille Bach livrés avec fougue, mais appelant plusieurs réserves en matière interprétative.

Un mois après le succès de La finta pazza, l’Opéra de Dijon assure avec Les Boréades un nouveau temps fort de la saison lyrique française, sous la direction d'Emmanuelle Haïm et dans la mise en scène de Barrie Kosky.

Le chef d'orchestre Raphaël Pichon et le metteur en scène Aurélien Bory sont à la tête d'une nouvelle production éblouissante salle Favart.

La mise en scène déconcertante de Christophe Honoré n’arrive pas à la cheville de la direction musicale de Kazushi Ono.