En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Philippe Cassard

Le petit festival de piano organisé par Vanessa Wagner dans le bel auditorium en bois clair du Musée des impressionnismes de Giverny a mis à l'honneur quatre pianistes remarquables.

Réduit au piano et privé de sa fameuse ouverture par Philippe Cassard, l'opéra de Haydn perd un peu de son âme mais bénéficie heureusement d'un quatuor vocal inspiré.

La symphonie emblématique du compositeur de La Côte-Saint-André a bénéficié de l'engagement d'un bel Orchestre National de France, malheureusement émoussé par la direction de Thomas Hengelbrock.

Éblouissants trios de Beethoven pour cette avant-dernière soirée à La Roque d'Anthéron avec Philippe Cassard, Anne Gastinel et David Grimal. 

Hier soir à la Philharmonie, la rencontre miraculeuse d’une distribution de très haut vol et d’un public aussi nombreux qu’attentif nous prouvait que les Liebeslieder avaient encore de beaux jours devant eux.

Et nous voici de retour à l’Auditorium du Louvre où, malgré le Weekend « Orchestre en fête » à la Philharmonie, Cédric Pescia et Philippe Cassard font le plein à quatre heure de l’après-midi. Du haut de nos gradins, c'était une très belle image du quatre mains qui s'offrait à nous.

Le Festival de Radio France de Montpellier a offert un concert autour de Felix Mendelssohn justement intime et vibrant. 

On attendait avec impatience le retour de Philippe Cassard dans le rôle-titre du Keuchel 482 de Mozart... Au pupitre, Sir Roger Norrington : figure socratique, la désinvolture du geste et la puissance du vrai, dans toute son intelligibilité.

Le sublime duo Dessay/Cassard éblouit le public lyonnais dans un récital de lied et de mélodies généreux et riche en émotions.

On ne l'attendait pas vraiment dans ce répertoire : jusque-là, Philippe Cassard se nourrissait essentiellement de monographies, Schubert et Debussy notamment. Mais sous ses doigts, la structure de la Sonate en si se livre de façon immédiate. Vendredi dernier salle Gaveau, la prestation d’un pianiste aussi complet, aussi engagé que Philippe Cassard, a fait saliver les mélomanes.

Waltzing on a Monday evening? Wigmore Hall is not exactly the Tower Ballroom, but last night it did a fair impression as a temple of dance when Philippe Cassard played the third of his Debussy Perspectives series.

“Wigmore Hall is flooded now!” confessed Philippe Cassard. It was Claude Debussy who left the tap running, with every form of precipitation – rain, snow, fog – pouring from the Steinway's keyboard, trickling from fountain, springing from river beds. 

At Wigmore Hall, Philippe Cassard took us on an engrossing picture postcard tour of Debussy’s musical world. 

A ratos íntimo y a ratos valiente concierto de Natalie Dessay, a medio camino entre el lied y la mélodie francesa

Du bist die Ruh' (Tú eres la calma)… con el Lied de Schubert in memóriam de las víctimas del accidente aéreo en los Alpes franceses horas antes, Natalie Dessay, acompañada por Philippe Cassard, comenzó emocionada su recital de debut en A Coruña.

Natalie Dessay’s recital at the Maison Symphonique last night should have been an art song lover’s dream come true. Instead the audience was treated to a bizarre spectacle of over-expression and under-singing.