En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Nicolas Cavallier

En ouverture du festival basque, la formation sur instruments d'époque a fait merveille sous la direction de Pierre Bleuse dans un programme intégralement ravélo-espagnol.

Dmitri Tcherniakov se montre étonnamment peu inventif au moment de relier en un diptyque les deux œuvres de Gluck. Musicalement, le spectateur reste aussi sur sa faim malgré de très beaux passages.

La production vaut le détour essentiellement pour ses deux remarquables interprètes principales, Ruzan Mantashyan et Ambroisine Bré. Le reste peine à se porter à la hauteur de l'œuvre de Massenet.

L'opéra de Ravel remporte son match face au ballet de Stravinsky Pulcinella, plutôt décevant, alors que l'inénarrable Stéphanie d'Oustrac remporte un triomphe dans le rôle de Concepción.

Dans son style caractéristique, Olivier Py fait la part belle dans sa mise en scène à un folklore music-hall riche en paillettes, au risque de manquer la part de fable politique de l'œuvre.

La reprise de la production d'Olivier Py s'avère un spectacle magistral servi par une distribution de premier ordre, malgré les répétitions perturbées par un virus...

David Hermann a la bonne idée d'inscrire l'opéra mozartien au temps des crises majeures du premier XXe siècle, mais la machine à jouer finit par tourner à vide et la distribution peine à s'épanouir.

Permettre au public de redécouvrir une œuvre rare et rassembler toutes les conditions pour que l’entreprise soit un succès : mission accomplie !

Plus donné au Théâtre Antique d'Orange depuis 1978, l'opéra de Saint-Saëns fait son retour avec un duo de rêve en Roberto Alagna et Marie-Nicole Lemieux.

Donné en création mondiale au Palais Garnier, l'opéra de Marc-André Dalbavie d'après la pièce de Paul Claudel est une expérience spectaculaire hors du commun, portée par une excellente distribution.

Histoire touchante que celle de ce Démon à qui un Dieu particulièrement cruel refusera la rédemption par l’amour. Excellente distribution et mise en scène idoine pour cette belle redécouverte proposée par l’Opéra de Bordeaux.

Opéra dans l'opéra, la nouvelle production des Contes d'Hoffmann mise en scène par Vincent Huguet ouvre la saison de l'Opéra de Bordeaux avec un succès.

Les Chorégies d'Orange reprennent largement la mise en scène et la distribution du Guillaume Tell produit à Monaco en 2015, pour le plus grand bonheur du Théâtre Antique.

L'inégale Tosca de Pierre Audi est de retour à l'Opéra de Paris. Portée par un duo remarquable et un orchestre formidablement mené par Dan Ettinger.

À l'Opéra du Rhin, la recréation de l'irrésistible Barkouf, opéra-bouffe d'Offenbach qui n'avait plus été donné depuis 1861, frappe par son actualité.

La chorégraphe contemporaine allemande Sasha Waltz avait monté une nouvelle version de Roméo et Juliette sur la partition de la symphonie dramatique de Berlioz en 2007. Ce ballet-opéra, où les chanteurs lyriques partagent la scène avec les danseurs, est repris pour la troisième fois à l’Opéra Bastille.

Petibon, Devieilhe, Gens, Koch,... le nec plus ultra de l'art lyrique français était réuni sur la scène du TCE pour la reprise de la production unanimement saluée d'Olivier Py des Dialogues des Carmélite. 

Que ce soit pour sa mise en scène, sa distribution ou sa direction musicale, cette production des Dialogues de Carmélites au Théâtre de la Monnaie est un franc succès. 

Très belle représentation de Katia Kabanova à l'Opéra d'Avignon marquée par une très belle proposition scénique et une distribution très homogène ! 

L'Opéra Grand-Avignon présente Lakmé dans une charmante production, tant au plan visuel que musical. 

La nouvelle saison de l'Opéra de Marseille débute avec une production de Manon de Massenet. Timide mais prométeuse ouverture de saison. 

Avec les magistrales performances de Roberto Alagna et de Paul Gay, l'élégance de la poésie de Pierre Corneille brille dans le retour du Cid de Massenet à l'Opéra de Paris, plus d'un siècle après qu'il y a été entendu pour la dernière fois. 

Dernier opéra de Rossini créé en 1829 à l’Opéra de Paris, Guillaume Tell s’inspire d’une légende du Moyen-Âge et de la tragédie de Schiller. Il permet au compositeur de livrer en creux un message politique, celui d’une Italie libérée du joug des Habsbourg. 

Diálogos de carmelitas entra a formar parte de los hitos programados por el Palau de Les Arts, de la mano de Robert Carsen y Riccardo Minasi.

L'opéra subversif de Mozart revisité par la production comique de Chris Alexander ouvre la saison lyrique de Seattle.

Jacques Offenbach’s Tales of Hoffmann is a fine example of how the ridiculous can indeed be sublime. Three E.T.A. Hoffmann stories about otherworldly love affairs with defective femmes fatales, one of whom turns out to be a mechanical doll, connected only by the author’s gullible alter-ego as protagonist, scale the heights of the phantasmagorical.