En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Philippe Estèphe

Après d'intéressantes raretés de la fin du XIXe siècle français, le chef du Concert Spirituel a dirigé une belle version du chef-d'œuvre fauréen dans l'église de Saint-Jean-de-Luz.

Deux ans après sa création au Théâtre des Champs-Élysées, la production remettant à l'honneur la version originelle de l'opéra bouffe d'Offenbach débarque à Montpellier, avec quelques heureuses surprises.

Fruit d’une collaboration entre le Palazzetto Bru Zane et l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, la production restaurait le célèbre opéra-bouffe de Jacques Offenbach dans sa version initiale de 1866.

Sabine Devieilhe triomphe dans Lakmé à l'Opéra Comique, dans un spectacle visuellement un peu terne mais musicalement superbe.

Le drame lyrique de Victorin Joncières bénéficie de la direction dynamique d'Hervé Niquet et de la mise en scène inventive de Jean-Romain Vesperini, malgré une distribution inégale.

Des pages absolument inédites, une bonne humeur généralisée sur le plateau : la fête aurait été complète avec un soupçon de folie musicale et scénique supplémentaire…

Ouverture de saison lyrique à Montpellier avec le chef-d'œuvre de Rossini, bien traité par la distribution et la direction musicale mais desservi par la mise en scène.

Malgré une direction peu inspirée de Lawrence Foster, La Flûte enchantée marseillaise bénéficie de l'humour de la mise en scène et d'une solide distribution.

Olivier Py propose une passionnante mise en scène de l'opéra de Massenet, malgré des excès évitables. Si Benjamin Bernheim et Nadine Sierra resplendissent, Marc Minkowski déçoit dans la fosse.

Le Fantasio genevois, loin de démériter, réjouit par la mise en scène savoureuse de Thomas Jolly, un plateau assez homogène, un orchestre coloré et vaillant mais pâtit néanmoins d’une partition qui révèle bien des longueurs.

À la veille du cinquantième jour du temps pascal, le Festival « Passe ton Bach d’abord » offrait, pour sa dixième édition, une ambitieuse Passion selon Saint Matthieu par l’éternel kapellmeister. 

Imprégné de la poésie du spectacle, on ne quitte pas le théâtre sans avoir envie d’en fredonner ou siffloter les mélodies.

L'Opéra National de Montpellier ouvre sa saison avec une rareté de Massenet : Chérubin. Un Chérubin plus « fashion victim » que bourreau des cœurs. 

Der Abschluss des Rameau-Opernzyklus' von Orfeo Orchestra und Purcell Choir stand unter allseits inhaltlich passendem Segen sowie dem Vashegyis Fähigkeit und Akribie – auch beim letzten Windhauch in der NTR ZaterdagMatinee.

Eine reife Leisung mit vielen Elementen beachtlichen Seltenheitswerts, genauso wie noch Lullys Opern heutzutage, die getreu des Klarafestival-Mottos mal wieder Musik wurden.

Excellent performances and stage direction make a good case for an opera that's on the slow side dramatically.