En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Pierre Doyen

Le metteur en scène imagine une mise en abyme qui montre ses limites. Sur le plan musical c'est en revanche une réussite, de Nathalie Stutzmann à la baguette à Stéphanie d'Oustrac dans le rôle-titre.

La mise en scène de Thaddeus Strassberger s'efforce d'en mettre plein la vue mais elle ne rend pas justice au drame de Verdi, tandis qu'Irina Lungu déçoit dans le rôle-titre.

La soprano française brille dans une version de concert monégasque où l'on retrouve deux Belges de la production liégeoise... Décidément à la mode, l'œuvre de Delibes est encore une fois bien servie.

Transposant l'ouvrage dans le monde contemporain de la finance, la mise en scène a un air de déjà vu. La distribution est dominée par Davide Luciano, excellent dans le rôle-titre.

Dans cette nouvelle production mise en scène par Vincent Huguet, la Manon de Pretty Yende convainc, le Des Grieux de Benjamin Bernheim enthousiasme mais la direction musicale de Dan Ettinger engloutit l’ensemble.

Au Festival Radio France Occitanie Montpellier, l'opéra Fervaal de Vincent d'Indy sort de l'oubli, porté par un grand Michael Spyres dans le rôle-titre.

Le Fantasio genevois, loin de démériter, réjouit par la mise en scène savoureuse de Thomas Jolly, un plateau assez homogène, un orchestre coloré et vaillant mais pâtit néanmoins d’une partition qui révèle bien des longueurs.

Deuxième opéra de l'été aux Chorégies et une Traviata dominée par un trio vocal d'une précieuse homogénéité. 

Ouverture en grande pompe de l'édition 2016 des Chorégies d'Orange avec une Madama Butterfly de haute tenue. 

Foisonnement, questionnement et radicalisation d’une œuvre éternelle.

Lever de rideau à l'Opéra de Rennes sur un Barbe-Bleue gargantuesque. Qualité et pétillance au rendez-vous en cette période de fêtes.

Aigul Akhmetshina is outstanding in the title role, hearing Piotr Beczała is a privilege, but it's Damiano Michieletto's new staging that takes the honours.

The staging sways between tackiness and naivety, like those old Christmas cards with sequins glued to the edges of the figures.

Interesting ideas and a brilliant orchestral performance aren't enough to overcome a visually dull staging, predictable choreography and a lack of chemistry between the protagonists.

Love may well be a rebellious bird, but that's as nothing to maverick director Dmitri Tcherniakov, whose twisted staging for Festival d'Aix reimagines Bizet's opera as a radical therapy session.

A Manon as sexy and unsteady as its heroine.