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Habité par son personnage, la violoniste, chanteuse, compositrice et comédienne livre une performance de premier choix avec des partenaires au diapason.

Dans cet oratorio napolitain, les chanteurs de l'Académie de l'Opéra de Paris ont réalisé de belles prouesses, sous la direction énergique et expressive de Thibault Noally.

L'ensemble historiquement informé et son violoniste-chef ont proposé une lecture passionnante d'un programme intégralement consacré à Mozart.

Avec sa Cappella Mediterranea et le chœur accentus, le chef argentin a transporté le public au XVIIe siècle, au cœur des cérémonies religieuses de la ville éternelle.

En compagnie de Miguel da Silva et Gary Hoffman, le jeune Rolston Quartet a fait mieux que formuler une promesse au public parisien, interprétant notamment une formidable Nuit transfigurée.

Retour sur un récital 100% Scarlatti inventif et vivifiant, malgré un bruit de fond nuisible...

Réunis autour de Tabea Zimmermann, les jeunes solistes de l’Académie de Kronberg défendent avec enthousiasme Beethoven et Dvořak. Seule en scène, l’altiste offre une vision poétique d’une Sonate de Hindemith.

Soirée de quatuors avec piano à l'Auditorium du Louvre : le Quatuor Skride apporte son panache aux œuvres de Schubert, Suk et Brahms.

Son homogène, virtuosité, recherche de contrastes : au Louvre, le Quatuor Arod fait montre de ses remarquables qualités techniques à travers une histoire du quatuor, de Haydn à Bartók.

Autour de la Sonate pour flûte, alto et harpe de Debussy, trois jeunes talents étaient mis à l'honneur à l'Auditorium du Louvre : Adam Walker, Timothy Ridout et Anneleen Lenaerts.

Deuxième concert-hommage à Eugène Ysaÿe, à l'Auditorium du Louvre, par la Chapelle musicale Reine Elisabeth : le Quatuor Hermès émerveille dans Ravel, Elina Bukša peine à prendre son envol dans Chausson.

Avec l'expérimenté Miguel da Silva, les jeunes solistes de la Chapelle musicale Reine Elisabeth proposent une redécouverte énergique et inspirée des œuvres d'Ysaÿe et Fauré, dont les similarités sont intelligemment soulignées.

Dans un Auditorium du Louvre qui affichait complet, le Trio Sōra a impressionné par sa cohésion, l'intelligence des choix musicaux et le niveau de réalisation.

Et nous voici de retour à l’Auditorium du Louvre où, malgré le Weekend « Orchestre en fête » à la Philharmonie, Cédric Pescia et Philippe Cassard font le plein à quatre heure de l’après-midi. Du haut de nos gradins, c'était une très belle image du quatre mains qui s'offrait à nous.

Quelle idée de venir présenter à Paris programme de telle envergure, dans une réalisation si défaillante sur le plan technique ! Une performance brouillonne, hagarde et décousue, qui remet en question le vedettariat mondial du pianiste.