Actuellement en doctorat de Littérature et Langue française à Lyon, Elodie Martinez travaille sur une thèse interdisciplinaire portant sur les représentations de Médée dans l'ensemble des arts. Passionnée par l'opéra depuis quelques années, elle étudie le violon et le chant. Elle est également rédactrice pour le site www.toutelaculture.com dans les rubriques "Musique Classique", "Opéra" et "Livres".
L’Opéra national du Rhin propose de redécouvrir la Pénélope de Fauré mis en scène par Olivier Py, avec dans le rôle-titre une Anna Caterina Antonacci toujours excellente, fidèle à sa réputation de grande tragédienne.
L'Auditorium de Lyon et le Festival d'Ambronay ont offert une très belle soirée au public venu écouter les Te Deum de Charpentier et de Lully mercredi 30 septembre. De quoi réconcilier les deux compositeurs la veille de la date anniversaire de la mort de Louis XIV !
Hélène Grimaud était attendue les 17 et 19 septembre aux côtés de l’OnL dirigé par Léonard Slatikin à l’Auditorium de Lyon. Malheureusement, la pianiste étant souffrante, elle a été remplacée par l'américain Nicholas Angelich entraînant quelques désistements dans le public qui n'a pas été perdant dans ce changement!
Mercredi 26 août, dans l’Angelika-Kauffmann-Saal de Swarzenberg se poursuivait le Festival Schubertiade avec, à 16h, un liederabend par la jeune soprano Brenda Rae accompagnée de Wolfram Rieger au piano.
Certainement ne manquait-il qu’une adhésion commune, une complicité partagée malgré les efforts et les tentatives des trois artistes. La magie n’était définitivement pas au rendez-vous cette après-midi…
Mardi soir, la Chapelle de la Trinité de Lyon accueillait Nathalie Stutzmann et son ensemble Orfeo 55 pour un concert dans le cadre des "Grands Concerts". L'occasion de présenter "Les héros de l'ombre", titre du programme mais aussi de son dernier album, "Heroes of shadow".
L'Auditorium de Lyon fut le lieu de belles retrouvailles entre Jun Märkl et l'Orchestre National de Lyon qu'il dirigea durant six ans. Un programme floral en résonance avec le festival de l'Opéra du mois dernier, brillament mené.
En ce temps de Pâques, le Messie de Haendel trouve toute sa place dans la Chapelle de la Trinité de Lyon. Si la réputation du chef Spinosi et de son ensemble Matheus est à présent faite, le choeur de chambre Mélisme[s] relève véritablement la soirée qui, côté orchestre, a toutefois mis un peu de temps pour entrer dans la partition.
Dans le cadre de son festival "Les Jardins mystérieux", l'Opéra de Lyon propose une lecture originale et unique d'Orfeo ed Euridice de Gluck. Un voyage dans l'inconscient, laissant donc parfois de côté la logique, mais dans lequel le talent des artistes se met au service d'une mise en scène qui ose.
Après Montpellier et presque en même temps que Lille, l'Opéra de Lyon offre une version d'Idoménée de Mozart. Pouvoir, amour, violence, dette, divinité, pardon et abdication donnent un livret qui n'est pas des plus simples et que la mise en scène de Martin Kušej n'aide pas à comprendre...
Lucilla Galeazzi a offert au public lyonnais un concert intime et chaleureux aux douces couleurs de l'Italie. Une soirée à "la dolce vita" qui a ravi la salle pleine pour l'occasion.