Live, Video: Kritiken zu klassischen Konzerten, Opern, Ballett und Tanz finden | Enea Scala

Damiano Michielettos Inszenierung bietet einen durchwachsenen Abend, wenn auch mit filigranem Orchester unter der Leitung von Sestro Quatrini.

Rossini's Otello is rarely performed, mainly due to its three demanding tenor roles, but the Rossini Opera Festival delivers a knockout, both vocally and emotionally. 

La reprise de la production d'Olivier Py s'avère un spectacle magistral servi par une distribution de premier ordre, malgré les répétitions perturbées par un virus...

Le Festival de l'Opéra de Lyon, intitulé pour cette édition 2022 « Secrets de famille », s'ouvre avec un Rigoletto de qualité malgré des histoires parallèles qui rendent l'ensemble difficile à suivre.

Rarement donné depuis sa création, l'opéra de Rossini bénéficie d'une belle distribution, Nino Machaidze en tête dans le rôle-titre, et de la direction avertie de José Miguel Pérez-Sierra.

Enea Scala and Rihab Chaieb impress in a concert performance of Massenet's Werther in Ghent. 

Deuxième moitié du diptyque lyrique italien proposé par l'opéra bruxellois, l'opéra de Donizetti est interprété par une distribution inégale, dans laquelle s'illustrent notamment Vittorio Prato et Raffaella Lupinacci.

Dans un diptyque de concerts mis en espace et diffusés en streaming, La Monnaie nous fait entrer dans l'univers brillant et élégant de l'opéra romantique italien, avec une distribution vocale assez inégale.

Les Contes d’Hoffmann reviennent à La Monnaie. Si la mise en scène hollywoodienne de Krzysztof Warlikowski montre ses limites, l'interprétation musicale n'appelle que des éloges.

Peter Konwitschny's production strips away much of the religious symbolism, presenting the difference between Jews and Christians as little more than the dyed colour of their hands. 

À l'Opéra de Monte-Carlo, Falstaff rencontre un grand succès dans la mise en scène fantasque de Jean-Louis Grinda. Nicola Alaimo propose une admirable incarnation du rôle-titre.

La Fenice presents Rossini’s monumental farewell to Italy and to 18th-century tradition in Ligorio’s elegant new production with a superb cast.

David Pountney’s 2014 staging was revived in Naples with good singing and empathetic conducting.

At its 2015 inauguration at the Royal Opera House, a controversial rape scene in Act 3 drew outrage from the audience and critics alike. Now the Teatro Massimo is presenting the production once again.

Un épatant Laurent Naouri croise le fer vocal avec Patrizia Ciofi dans une distribution sans faille.

On se prend à rêver des futures prises de rôles de Karine Deshayes dans ce répertoire : Semiramide, Otello ? En attendant, son Armida a dépassé nos attentes et restera dans les annales de l’institution lyrique montpelliéraine. Une Armida d'anthologie !

Maria Stuarda en version de concert venait cloture le "marathon" Donizetti présenté ce mois-ci à l'Opéra de Marseille. Représentation en demi-teinte. 

A youthful Bellini opera able to stand on its own two feet? Perhaps not, as Adelson e Salvini gets the Opera Rara treatment. 

Retour majestueux au répertoire lyonnais pour un grand opéra français dans le cadre du Festival pour l’Humanité.

El Gran Teatre del Liceu presenta, ante una gran expectación, Benvenuto Cellini de la mano de Terry Gilliam. Tras una intensa campaña promocional, asistimos a un gran éxito de la temporada, con Josep Pons en la dirección musical y John Osborn y Kathryn Lewek en los roles principales.

A striking staging of Rossini's Guillaume Tell at the Grand Théâtre in Geneva: well cast, beautifully sung and impeccably choreographed.

A rare outing for Giovanni Simon Mayr's Medea in Corinto at the Festival della Valle d’Itria in Martina Franca. 

Sadly, Damiano Michieletto and Antonio Pappano's production is more likely to be remembered for its failings – the awful rape scene, its dullness, plus a list of annoying details too long to mention – than for its musical excellence. It’s worth seeing to get a feel of both.

Despite its happy ending, Vincenzo Bellini’s last opera I puritani is a 19th century opera permeated by deathly shadows, disenchantment, fading of love and sentiments forced or burdened by political intrigues. 

Both the music and the plot are heavily revised in Nunes' imagining of Rossini's final opera. But great performances and a coherent concept earned this unusual production a well-deserved standing ovation.

La finta giardiniera isn't one of Mozart's greatest operas. But this is about as good a production of it as I can imagine and makes for a deliciously light-hearted evening.