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L'ensemble codirigé par Mathilde Etienne et Emiliano Gonzalez Toro a exhumé le premier opéra composé par une femme, Francesca Caccini, représentatif de la splendeur de la cour des Médicis de Florence au Seicento.

La belle performance instrumentale de l'ensemble ne suffit pas à faire oublier les limites de la mise en espace et de la direction d'acteur, qui font parfois tourner l'œuvre de Monteverdi à la caricature.

Le public fait un triomphe à cette reprise des Noces de Figaro, dont la mise en scène (Ivan Alexandre) respectant de très près le livret de Da Ponte met paradoxalement en lumière la modernité de l'œuvre.

Dans cette nouvelle production mise en scène par Vincent Huguet, la Manon de Pretty Yende convainc, le Des Grieux de Benjamin Bernheim enthousiasme mais la direction musicale de Dan Ettinger engloutit l’ensemble.

À l'Opéra de Montpellier, le méconnu Fantasio d'Offenbach fait ses débuts dans la mise en scène sombre de Thomas Jolly. Un succès terni par le jeu et la diction perfectibles des chanteurs.

Il suffit parfois de quelques voix bien choisies pour qu'une œuvre prenne son envol.

Imprégné de la poésie du spectacle, on ne quitte pas le théâtre sans avoir envie d’en fredonner ou siffloter les mélodies.

L'Opéra National de Montpellier présente pour les fêtes deux opéras féériques. Une production sobre et sans froufou qui marque par son efficacité. 

Laurent Pelly’s new production combines froth and hilarity with a dark, satirical heart; Marc Minkowski and the orchestra seduce us.

Though ambitious and occasionally arresting, this revised and expanded take on the Purcell classic suffers from subtraction by addition.

A welcome return to the Glyndebourne Festival for Melly Still's staging, which brings out the full emotional range of Dvořák’s fairytale of denial, heartbreak and forgiveness.

In her anxiety to be ‘new’, Shaw slaps a sackload of semi-comprehensible ideas onto a sort-of present day update.