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Avec le retour de ce ballet mythique magnifiquement interprété par Bleuenn Battistoni et Guillaume Diop, on se réjouit d'avoir goûté à ce plaisir coupable qu'est le conte de fées dansé.

La chorégraphie syncrétique de Noureev porte en elle toutes les inspirations originelles, réelles ou supposées, depuis la création de l'ouvrage.

Pour la reprise de ce ballet romantique emblématique, le danseur étoile se distingue dans le rôle du Prince Siegfried. Le corps de ballet féminin réalise également une performance enthousiasmante.

Le trio multigénérationnel situé au cœur de l'œuvre de Janáček se distingue malgré un déséquilibre entre la fosse et le plateau. Christian Carsten signe la reprise de la mise en scène de Nicolas Joël.

Le Ballet de l’Opéra de Paris reprend l’un des ballets classiques les plus populaires de son répertoire, La Bayadère, avec un excellent trio d'étoiles Paul Marque – Sae-Eun Park – Valentine Colasante.

Pour le premier opéra 2018 et la reprise de la saison lyrique, la première des quatre journées du cycle lyrique du compositeur Richard Wagner marquait son grand retour sur la scène toulousaine dans sa production d’avril 1999.

La mise en scène de Nicolas Joël de La Rondine est de retour au Capitole avec un nouveau plateau d'artistes.

Adaptation du roman littéraire de Sir Walter Scott, l’opéra de Donizetti est créé en 1835, équilibrant parfaitement action scénique romantique et nécessités du bel canto. Dans la veine du livret de Salvatore Cammarano, Nicolas Joël choisi une mise en scène classique.

La production reprenait mise en scène, décors et costumes de la création toulousaine 2008-2009 amenée à l’époque par Michel Plasson et Nicolas Joel, et qui avait connu un succès certain, des Chorégies d’Orange à la ville rose. La part d’inconnue résidait surtout dans le plateau et l’individualité des voix.

La Bayadère, ballet féérique hérité de Rudolf Noureev, est de retour à l’Opéra de Paris dans une mise en scène étincelante et une distribution virtuose.

L’opéra d’Amadeo Vives, sans doute le plus connu des zarzuelas espagnoles et l’œuvre majeure du compositeur catalan retrouvait les planches du Capitole après une première représentation en 2007.

Latvian soprano Marina Rebeka sings Violetta in Lorenzo Amato's traditional – but damp – staging. 

Rudolf Nureyev's typically intricate choreography serves the Royal Swedish Ballet well, showing off the virtuosic talents throughout the ranks as well as the principal dancers.

Angel Blue and Jonathan Tetelman star in a revival of Nicolas Joël’s 2008 production of the Italian master’s sole attempt at crossover. 

Lluís Pasqual's production falls short of expectations, despite featuring a cast of opera stars led by the exceptional Anna Netrebko under the meticulous direction of Riccardo Chailly.

A good, mostly Italian cast brings alive one of the most famous productions by the great director Giorgio Strehler, under the baton of Andrés Orozco-Estrada.

El Teatro de la Zarzuela estrena El caballero de Olmedo con música de Díez Boscovich: grandes voces y demasiada intensidad.

El atractivo romance marinero de Sorozábal, con dirección de Óliver Díaz y Mario Gas, llenó el Teatro de la Zarzuela.

Los desajustes de la escueta orquesta de Bernàcer emborronan la versión de Los gavilanes de Mario Gas, en la que destacaron, protagonistas, las voces de Juan Jesús Rodríguez e Ismael Jordi.

Lorenzo Amato penetrates deep into the recesses of Bellini's opera. 

Estreno en Les Arts, con gran éxito y bajo la dirección Guillermo García Calvo, de la versión de Mario Gas de La tabernera del puerto, de Sorozábal, la última gran zarzuela de la historia.

A production apt for audiences who prefer a traditional, intimate staging of the most often performed of all operatic works.

El compositor Miquel Ortega sale victorioso de esta adaptación, sometiéndose al teatro y a la genialidad de Lorca.

A suggestive staging barely supported by the musical side

Una inteligente escena a cargo de Mario Gas, que recrea un rodaje hollywoodiense en la década de los años treinta, y una cuidada dirección de orquesta a cargo de Marco Armiliato han puesto en el escenario del Real una magnífica versión de Madama Butterfly, protagonizada por Ermonela Jaho la cual brilló en técnica y en actuación.

Mozart-Da Ponte, ese binomio casi divino, es garantía de éxito seguro, o al menos de una velada con lo mejor en la parte musical y teatral. Con estos mimbres, las funciones del Liceu de este mes de noviembre pasan por ser un bálsamo para los melómanos y el público que se acerca por primera vez al mundo de la lírica.

This production of Norma was definitely the best staging seen at the San Carlo in recent years.

Leo Nucci visceral animal of the stage has over 500 performances of the role under his belt, and, at the age of 73, he now eats this operatic challenge for breakfast

The POB struggles to connect to the Nureyev legacy, in an underwhleming performance of La Bayadère. 

A great love story as well as a cultural and musical shock as it has been from the beginning, this performance of Tristan und Isolde in Naples was led by an inspired Zubin Metha.